1. N. poursuit son 'éducation'


    Datte: 30/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    N. poursuit son « éducation »… Après avoir sodomisé mon épouse sur son lieu de travail, N. a continué à prendre « possession » d’elle et a poursuivi son « dévergondage de bourgeoise mature », suivant ainsi son programme auquel j’avais par ailleurs souscrit. Je passe sur les petits coïts sans grand intérêt, je ne raconterai que les épisodes les plus marquants. Il avait pris l’habitude de passer régulièrement à l’école de mon épouse ainsi qu’il l’avait promis, lui demandant à chaque fois de se préparer à l’accueillir, donc d’enlever sa culotte (lorsqu’elle en avait une !), éventuellement de se rafraîchir la chatte et l’anus, sachant que chaque visite se terminait immanquablement par une vigoureuse sodomie ! A sa demande, elle n’avait plus qu’un très petit ticket de métro, dégageant ainsi les lèvres de son sexe. Je n’avais pas eu mon mot à dire, mais ce n’était pas désagréable. Il avait aussi pris l’habitude de pratiquer avec elle de petits jeux «érotiques, comme l’attacher ou lui bander les yeux. J’avais eu l’occasion d’être partenaire de leurs jeux, notamment une fois où je devais la « préparer ». J’allai à son école, je l’installai sur le bureau, allongée sur le ventre, lui bandai les yeux, l’attachai aux pieds du bureau avec des menottes qu’il avait achetées (je précise qu’elles étaient en velours) et ensuite lui relevai la jupe pour qu’elle reste à l’attendre ainsi, offerte, prête à être saillie ! Pour ma part, j’en profitai par lui donner quelques coups de langue, elle ...
    ... s’était lavée et sentait bon la chatte propre, et la doigtai, la coquine était très excitée par cette mise en scène. Je partis lorsqu’un sms me prévint de l’arrivée de l’« étalon ». On se croisa, petit coucou, il bandait déjà dans son pantalon ! La suite ne mérite pas d’être racontée en détail, de plus je n’y étais pas, mais lorsque je reçus le message attendu, je revins pour détacher ma tendre épouse de sa position délicate. Lorsque j’arrivai, même moi qui n’ai pas un odorat performant (j’ai eu le nez cassé plusieurs fois au rugby), je sentis clairement l’odeur du sexe, je me mis à bander ! En m’approchant de ma petite femme, je fus hypnotisé par son anus encore ouvert d’où s’échappait du sperme en grande quantité, je ne pus m’empêcher de lui caresser les fesses, je sortis ma queue, elle devina ce que je venais de faire et me dit « Non ! ». Mais j’avais trop envie et je pénétrai sa chatte que son amant avait visiblement visitée également, toutefois j’étais obsédé par cet anus, je sortis mon sexe et j’éjaculai abondamment dessus, mélangeant ma semence à celle de N. Mon épouse me traita de pervers, ce qui ne manquait pas de sel lorsque l’on sait ce que son jeune amant lui avait fait. Elle se nettoya et nous partîmes en se tenant la main, comme deux amoureux que nous étions d’ailleurs. Par la suite, N. m’expliqua que toutes ces mises en scène avait comme but de l’habituer à « s’offrir » afin qu’un de ces soirs, il passe avec un, voire deux de ses amis et qu’il allait leur « prêter ...
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