1. Christine VI : Midlife Crisis (16)


    Datte: 06/09/2018, Catégories: Hétéro

    ... Monstrueux. Siegfried fait attention de ne pas aller plus loin mais il encule ma femme sans ménagement. Il jouit. Quand il se retire, Christine tient ses fesses écartées, proposant à Siegfried une vue obscène au fond de son anus complètement dilaté. J’adore quand elle fait ça avec moi. Et je me félicite de la position des caméras. Siegfried se rhabille et je retrouve du son. Son t-shirt était sur le micro. Il est aux anges. Il explique à Christine que de nombreuses femmes refusent de coucher avec lui lorsqu’elles découvrent la taille de son sexe. D’autres ont tellement peur au moment de la pénétration qu’elles se contractent et empêchent celle-ci. Il lui raconte aussi qu’il a été voir "des tas de prostituées" et qu’aucune n’a jamais accepté la sodomie. Christine est la première, Siegfried vient de réaliser un fantasme. Je me masturbe plus fréquemment et toujours en pensant à mon épouse. Je vois son visage souriant, ses éclats de rire, sa douceur. Je la revois aussi en train de s’habiller devant moi le matin de mon anniversaire. Quand je la vois se faire prendre par un autre, j’imagine surtout faire l’amour avec elle. Pourtant, s’il semble que je suis en train de reprendre le chemin dans sa direction, je ne ressens pas encore l’envie de lui en faire part. Par ailleurs, le mercredi 5 juin à midi, je rentre à la maison avec Fabienne. Elle est la première que je baise à la maison, dans notre lit. Je sais surtout que tout est enregistré. Excitée de baiser chez moi, Fabienne est ...
    ... parfaite pour les caméras : une vraie pro. Je la sodomise avant de passer directement de son cul à sa bouche pour y jouir. Alors que nous grignotons ensuite à la cuisine, je lui avoue que Mélissa est au courant de notre relation. Elle sourit : zvhhur — Mais tu la sautes aussi, non ? — Depuis un petit moment, oui. — Vous êtes super discrets et je n’ai rien entendu au sein de la boite. Je me suis douté de quelque chose car Mélissa a changé d’attitude avec moi. Je comprends qu’elle me voyait peut-être comme une rivale ! Elle rit. Curieuse coïncidence, nous entrons dans le parking souterrain juste derrière Mélissa. Dans l’ascenseur, cette dernière remarque : — Fabienne, un bouton de votre chemisier est ouvert. Fabienne sourit, rougit. L’ascenseur s’arrête à notre étage. Mélissa et moi sortons. Elle est morte de rire. Je lui dis : — Tu aurais pu lui faire remarquer plus discrètement. — Vous avez été baiser où ? — Chez moi. — Salaud. Tu l’emmènes elle alors que tu ne m’y as jamais emmené moi. Ce sera chose faite le lendemain à midi. En rentrant du travail le vendredi, je trouve Christine au salon avec un dépliant touristique du Vaucluse. — On ne travaille pas lundi. On part ? Elle a dit cela d’un air très détaché, très naturel. Il me faut quelques secondes. — Ben… oui ! Vingt minutes plus tard, Christine a réservé une maison avec piscine. Tandis que je vais contrôler la voiture, elle prépare les bagages. Les enfants sont ravis. Nous partons à 6h du matin. A 10h, nous sommes à Visan. ...