Solange et Cécile - Chapitre II
Datte: 07/09/2018,
Catégories:
ff,
fbi,
fplusag,
douche,
amour,
massage,
intermast,
Oral
lavement,
fouetfesse,
init,
initff,
Résumé du chapitre I : (voir n° 15099) Cécile, licenciée en droit de 22 ans, a dû emménager chez sa « belle-maman » Solange, alors que son compagnon, Jérôme, s’est expatrié au Brésil. Les deux femmes s’entendent à merveille mais Cécile a été attirée dans un traquenard par trois amies de Solange, absente, qui lui ont appliqué une fessée assez sévère. Le lendemain Solange revient et m’explique : — J’avais une convocation à Toulouse pour un dépistage de cancer. Je te rassure tout de suite, je me porte comme un charme. Prochain examen dans un an. Et toi, que me racontes-tu ? Hier chez Geneviève, ça s’est bien passé ?— Très bien.— Hum ! Tu en es bien sûre ? Que s’est-il passé ?— Mais non ! Rien, je t’assure, ce fut une journée très agréable, toutes les trois ont été très gentilles.— Comment ça, les trois, Alice et Françoise étaient là aussi ?— Heu…oui, pourquoi ?— Ça m’étonne que Geneviève ne m’en ait rien dit. Enfin, elles ont été sympas ?— Très sympas. Nous en restons là. Quelques heures plus tard, Solange revient de courses, et à sa mine je me doute qu’elle est très préoccupée. Aussitôt elle m’entreprend : — Dis-moi, j’ai rencontré Françoise qui m’a raconté votre après-midi chez Geneviève. Je comprends bien ta discrétion et je t’en félicite. Mais je suis folle de rage contre ces trois belettes qui se sont permis des choses… inqualifiables !— Oh tu sais, pour moi c’est digéré…— Non, pas question d’en rester là, on ne traite pas ma petite fille comme ça, sans m’en avoir parlé ...
... auparavant, ça n’en restera pas là, crois-moi, je vais leur causer du pays ! Le mercredi après déjeuner, au moment de partir en promenade, elle m’appelle dans sa chambre, ouvre un tiroir de sa commode et en sort… un martinet. — Tu vois cet instrument ? Eh bien elles vont en tâter toutes les trois, et sous tes yeux encore ! Nous commençons par Geneviève, qui n’ouvre pas sa boutique avant 16 heures. Elle nous accueille avec des bises affectueuses mais un vague air inquiet. Solange attaque d’emblée : — Peux-tu nous accorder quelques instants ?— Oui, bien sûr, de quoi s’agit-il ?— Allons au salon, si tu veux bien. Nous nous installons et Geneviève reprend : — Eh bien, qu’arrive-t-il ?— Tu dois bien en avoir une petite idée ?— J’imagine que Cécile a pleurniché à sa maman ?— Voilà qui n’arrange pas ton cas, Geneviève. Il se trouve que Cécile n’a rien voulu me révéler, c’est Françoise qui a vendu la mèche. Par contre, en ce qui me concerne, j’ai la ferme intention de ramener les compteurs à zéro.— Et que comptes-tu faire ? Solange ouvre posément son sac et en sort le martinet. — Ho ! Ho ! L’artillerie lourde ! Et comment penses-tu t’y prendre ?— De la façon la plus simple qui soit. Quand ? Tout de suite en ce qui te concerne, demain pour Alice, vendredi pour Françoise. Où ? Ici même, sous les yeux de la petite.— Et si nous refusons ?— Je tirerai un trait sur notre amitié.— Combien de coups ?— Tu le verras. Rien que tu n’aies déjà reçu par le passé. Allons-y ! Solange se lève et, du ...