Le club des nymphes - tome II (9)
Datte: 08/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Arthur, que prends-tu ? — Juste une bière, ça ira. — Dis-moi, Arthur, quel objet as-tu obtenu ? — Une lampe torche. Je n’ai pas bien compris à quoi c’est censé me servir. — Je vais te le montrer ; donne-la-moi… Liz, tu veux bien approcher s’il te plaît ? Ma fillote finit de nous servir nos boissons et s’avance vers moi, l’œil soupçonneux. Je lui souris pour la rassurer. Je ne lui veux aucun mal, bien au contraire. Je laisse le bout de la lampe se promener sur les cuisses de Liz puis je viens agacer ses lèvres intimes, faisant encore plus rougir ma fillote. À côté, Arthur ne perd pas une miette de la scène ; il est aussi rouge que Liz. Des perles de cyprine sur le bord des lèvres intimes de ma fillote trahissent son désir. Je commence à la pénétrer avec la lampe. Je la fixe dans les yeux, surveillant ses réactions. Elle fait tout pour garder un visage stoïque, mais je sais qu’elle n’est pas indifférente à cette lampe qui lui masse les parois vaginales. Je me demande si elle a déjà couché avec une fille ; si ce n’est pas le cas, peut-être tenterai-je de lui faire découvrir la chose. J’aimais bien quand marraine s’occupait de moi. — Vas-y, Arthur, à ton tour. Je lui tends la lampe et le laisse prendre la relève. Arthur profite donc à son tour de la soumission de ma fillote et semble y prendre plaisir. Liz a de plus en plus de mal à rester impassible tandis que la lampe coulisse dans son sexe. — Je crois que tu lui fais beaucoup d’effet, fillote. Je lui montre la magnifique ...
... bosse qui déforme le pantalon d’Arthur. Bon, pour une première approche, cela me semble plutôt bien parti. Je les laisse en tête-à-tête en précisant à Arthur qu’il peut la retenir autant qu’il en a envie. Il me faut faire un tour pour voir si tout se passe bien. Étienne, un des potes de Boris, est en train de claquer une tapette à mouche sur les fesses de Noémie. Comme il y va raisonnablement, je ne trouve rien à redire. Lindsay, attaquée par une carotte et un gode, semble ravie. Tout a l’air de bien aller. Les potes de Boris se révèlent tous sympathiques et respectueux. Je crois qu’il est temps d’aller le remercier. Je m’avance vers lui. Il est en train de discuter et de doigter sa marraine. Je m’assois à ses côtés ; Anzhelina grimace. — Alors, comment ça se passe ici ? — Tout va bien, sourit-il. J’ai eu une brosse à dents électrique qui a eu l’air de faire beaucoup d’effet à Noémie tout à l’heure. — Tant mieux ! Je voudrais te remercier de nous avoir amené des garçons de confiance. — Bah, ce n’est pas la peine de me remercier ; c’est tout à fait normal de vous donner un coup de main. — Qu’est-ce qu’elle fout là, celle-là ? me lance Anzhelina sur un ton sec en désignant Sandrine. — Elle a quitté les sirènes et souhaitait revenir. — Et alors ? peste-t-elle. Elle nous a trahis : elle n’a donc plus rien à faire avec nous. C’est comme Jérôme et Adam ; c’étaient des favoris de la bande à Élodie. Je ne vois pas pourquoi tu les as invités à cette soirée. — Je les ai invités car il nous ...