Premières expériences extraconjugales
Datte: 08/09/2018,
Catégories:
fhhh,
extracon,
médical,
sauna,
Collègues / Travail
Oral
double,
confession,
extraconj,
... une dernière giclée s’écrasa contre mes lèvres. Au lieu de recracher, j’avalai sa semence et me léchai les lèvres pour y récolter les dernières gouttes. Au même moment J.-B. se retira de mon vagin et voulu se présenter devant mon petit trou. Là, s’en était trop, je lui refusai l’accès avec ma main et lui saisis le sexe que j’approchais de mon visage. Il était couvert de ma mouille que j’allai goûter pour la première fois. Je le léchai sur toute la surface. C’était bizarre de goûter mon jus, mais fort excitant ; je le pris en bouche et démarrai une profonde fellation. Il avait glissé la main entre mes cuisses et me caressait la rondelle. Je sentis son doigt se présenter à l’entrée de mon anus et, en une légère poussée, s’y introduire. Je ne pouvais crier mais je venais de jouir. Je continuai cependant ma fellation et il vint dans ma bouche quelques minutes après. Comme avec mon patron j’avalai toute sa semence et léchai son engin pour le nettoyer. L’ambiance était chaude mais détendue et je n’éprouvais pas la moindre gêne. Nous venions de prendre du plaisir et je me demandai jusqu’où cela irait, car je savais que ça ne pouvait pas s’arrêter comme ça… Nous avions repris notre rythme de travail normal, il y avait un peu plus de complicité entre moi et mon patron, mais nous avions maintenu le vouvoiement et il n’y avait eu aucune relation sexuelle depuis le départ de J.-B. À la fin du mois de mai, comme tous les ans il devait partir quelques jours pour un colloque de docteurs ...
... en gastro-entérologie. Il vint donc me trouver pour que je règle les préparatifs de son séjour et fasse les réservations d’avion nécessaires. Il me demanda si je pouvais exceptionnellement l’accompagner cette année, en effet étant lui-même chargé de donner plusieurs conférences, mon aide lui serait précieuse. Je n’étais pas dupe, je savais très bien qu’il n’avait en aucune manière besoin de moi, ces discours étaient tapés depuis longtemps et les années précédentes, il s’était très bien débrouillé seul. Mais j’en avais autant envie que lui et le temps pourri de la Bretagne me mettait le moral au plus bas. Donc, passer trois jours à Nice n’était pas pour me déplaire, de plus, aux frais de mon patron. Mon mari eut un peu de mal à comprendre et n’approuvait pas trop mon départ, mais je lui fis remarquer que, quand il s’absentait parfois une semaine entière pour son travail, je ne lui faisais pas de crise. Cette remarque fit mouche et nous n’en parlâmes plus. Le jour du départ arriva, mon patron vint me chercher à mon domicile avec son véhicule pour rejoindre l’aéroport ensemble. Il sonna à l’entrée, je vins lui ouvrir, j’étais seule à la maison et n’étais pas encore prête, je sortais juste de la douche une serviette sur les cheveux et mon peignoir noué à la taille. Je lui fis remarquer qu’il était en avance, il me dit qu’il en était heureux il pourrait ainsi m’aider à choisir mes dessous. Je le fis entrer, je lui proposais un café, il s’installa au comptoir dans la cuisine, je me ...