La soumission (1) - Histoires de Sexe

La soumission (1)

... avec beaucoup de tours et détours. En l’espace de quelques minutes, Élodie avait perdu ses repères temporels et visuels. Quand ils arrivèrent, elle aurait été bien en peine de dire où. Ils descendirent des marches. Le manteau lui fut ôté. - Ouvre la bouche En quelques secondes, Yan lui mit un bâillon-balle dans la bouche Élodie ne pouvait plus parler. - Donne-moi tes mains. Elles furent attachées. Et Élodie suspendue. L’attente commença. Elle ne sut pas combien de temps elle attendit ainsi. Pang. Elle tressaillit violemment. Une baguette souple avait cinglé ses fesses. Une première fois. Une dizaine de fois. À intervalles irréguliers. Soudain, elle voulut hurler. La baguette avait changé de destination. La cible était sa poitrine. Deux coups sur chaque sein. La douleur était forte. « Pourvu qu’il ne me les abîme pas ! » Telle fut la pensée qu’eût Élodie. Elle était fière de sa poitrine. Pas grosse, mais pleine. Et elle tenait encore très bien malgré le double allaitement. Au souvenir que Yan les adorait, elle se calma. - Écarte les jambes Mais ce fut encore ses seins qui furent attaqués. Chaque téton fut pincé par une pince à linge. Yan en posa cinq autres sur chaque sein, en cercle. Puis, six autres sur les lèvres de la vulve. La douleur était terrible pour Élodie. Mais son calvaire volontaire ne faisait que commencer. Par-derrière, Yan cingla ...

... la vulve. Malgré le bâillon, il entendit le cri de sa femme. nhznbbot Ce cri lui meurtrit le cœur. Il allait arrêter quand il vit Élodie écarter d’elle-même ses jambes, se remettant dans l’attente. Alors il continua. Durant les 20mn qui suivirent, il alterna les coups de baguette sur les fesses, la vulve et les seins pour ôter les pinces. Élodie dégoulinait sous l’effet du traitement. Son corps était rouge sous l’effet des coups, mais elle ne saignait pas. Elle était en feu. Elle sentait en elle une boule qui l’amenait vers une jouissance comme elle n’avait connu. Sauf que celle ci ne se déclenchait pas. Élodie ne savait pas, mais Yan s’était accroupi devant elle. Il ajusta sa baguette soigneusement, visant avec soin le clitoris. Le coup s’abattit très sec et déclencha douleur et jouissance chez la femme. Il agrippa les cuisses pour l’empêcher de bouger et de la langue, il la lécha longuement, prolongeant l’orgasme faramineux d’Élodie. Puis il l’a détacha, enleva la boule de la bouche et les lunettes. Élodie pleurait. Il l’allongea sur le sol en la prenant dans ses bras. Il l’a berça avec des mots doux. Élodie mit longtemps pour se calmer. - À partir de maintenant, le mot magique et j’arrête. D’accord ? - Oui maître. Élodie voulait continuer. La jouissance obtenue demandait une seconde du même type. Elle voulait ça de tout son être. (à suivre)