1. La coquine et l'énigme du chapelet disparu...


    Datte: 09/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Afin de vous confirmer à quel point je suis bien une coquine, je vais vous raconter une petite anecdote survenue il y a quelques jours de cela, tandis que mon compagnon et moi nous adonnions à notre activité favorite : baiser ! Au terme d'une journée bien remplie par de nombreux textos sexuellement explicites, mon homme et moi sommes impatients de rejoindre notre lit. Comme souvent, en préambule, nous choisissons un porno bien hard pour stimuler notre imagination. Je sélectionne une petite série où une femme mature joue avec des godes tous plus hallucinants les uns que les autres. Après avoir fortement dilaté ses orifices (que dis-je, ses gouffres!), elle s'empare d'un jouet fantastique en forme de tête d'éléphant doté d'une trompe énorme! A grand renfort de lubrifiant, la dame défonce littéralement sa chatte gloutonne, puis s'empale par le fion sur le long nez de ce Babar fouineur ! Mon chéri me malaxant allègrement les seins, je suis de plus en plus réceptive à ces images outrancières... je me prends à rêver de pachyderme salace! N'y tenant plus, j'écarte ostensiblement les cuisses. Mon homme comprend le signal et entreprend de me branler sans ménagement. D'ordinaire, j'apprécie un peu plus de progressivité, mais ce soir je suis déjà chauffée à blanc. Alternant les caresses circulaires sur mes lèvres et mon petit clito avec un doigtage en règle, le tout ponctué de petites tapes (terrible ça!) et arrosé de salive, monsieur fait vivre à ma chatte un délicieux supplice! Je ...
    ... veux être écartelée, prise, pilonnée... ahhh je veux du gros, du lourd, du long, du fort! Mais ce salopard me fait languir. Je proteste, agite mon bassin frénétiquement. Je supplie qu'on me finisse, je m'ouvre en grand... "Alors, on en veut plus, vilaine petite chienne?". J'acquiesce dans un souffle. Moi qui ne supportait pas ces vulgarités il y a encore quelques mois, je revendique à présent ce statut infâmant. Oui, la petite chienne est en chaleur et elle réclame sa saillie! Le majeur et l'index en crochet, mon homme abrège mon calvaire en dévastant l'entrée de mon con. Mes grosses lèvres son gonflées et écarlates. Je me caresse, ou plutôt je me frotte comme une forcenée. Je dégouline, ma tête bourdonne, je pars à la renverse... "Putain c'est bon!"... je suis secouée de spasmes. Mes jambes se tordent en tous sens, je me cabre, j'arrache de ma chatte cette main qui vient de me faire crever de plaisir mais qui devient insupportable maintenant que j'ai joui. Je reste quelques instants pantelante, cherchant ma respiration, peinant à reprendre mes esprits. Mais c'est sans compter l'impatience de monsieur qui veut sa part. Il m'empoigne le bras. "Allez petite branleuse, travaille un peu". Le ton est impérieux. Je m'exécute d'autant plus docilement que je dois admettre que j'adore branler. Même dans mes périodes de pire pudibonderie (cf. le récit initial de mon parcours), j'ai toujours aimé branler des queues, car le pouvoir de mes petites mains sur un homme aux abois me fascine à ...
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