Coup de canif (2)
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
voisins,
pénétratio,
... amour. Je me suis levé et l’ai attirée contre moi. Elle était chaude et odorante. Odeurs d’amour et de stupre. Je l’ai embrassée langoureusement et il me semblait retrouver entre ses lèvres, le goût âcre du chibre de son amant. Je me suis collé contre elle, elle m’a senti tout dur contre elle. Elle a parue surprise : — Tu bandes ! Tu ne m’en veux pas ? Comment pouvais-je lui en vouloir ? Je me rendais compte maintenant que sa débauche, inexplicablement, m’excitait. Je l’ai entraînée dans notre chambre et me suis coulé entre ses cuisses. J’avais le désir de la bouffer toute souillée. Vainement, elle a tenté de faire de ses mains un obstacle à ma bouche avide. — Laisse-moi te manger!— Je suis sale mon chéri!— Tu es pleine de sperme, cochonne!— Oui et j’ai honte! J’ai écarté ses mains.— Laisses moi te sentir. Ça sentait fort les sécrétions d’amour. Les lèvres de sa fente étaient luisantes de mouille et du sperme du basketteur. J’ai glissé un doigt dans son antre gluant. Elle s’est mise à geindre la garce ! Alors, je l’ai bue, sans retenue. Je me suis régalé de son puits d’amour malmené et pénétré par un rival. Je le lui ai avoué : — Chérie, j’adore quand tu me reviens ainsi, toute chaude, d’entre les bras de ton amant.— Ça t’excite ?— Oui ! Dis-moi, il t’a bien baisée ?— Oui, c’était merveilleux et puis il a une si grosse queue !— Énorme?— Oui, énorme.— Tu l’as bien sucée?— Je n’ai pas arrêté de la pomper ! Je l’ai léchée à nouveau. Bon sang ! Elle était baveuse ...
... d’excitation. J’avais relevé ses jambes et de larges coups de langues, je me délectais de ses chairs juteuses. À un moment, elle a crié : — Viens, prends-moi!— Tu as besoin d’une autre bite, salope!— Oui,mets la moi, à ton tour. Je me suis redressé et j’ai pointé ma queue rigide entre ses chairs d’amour. Je ne pouvais m’empêcher de penser qu’il y avait peu de temps, un autre sexe s’était présenté de la sorte pour la pénétrer. Je me suis enfoncé et elle a hurlé de plaisir. J’étais dur comme jamais. Je me suis mis à aller et venir avec une douceur infinie. Je l’aimais tant, ma femme adultère. Les images allaient et venaient dans ma tête. Des visions crues et perverses de mon épouse malmenée par son amant ajoutaient à mon plaisir. A un moment, je me suis penché vers elle et sans arrêter mes coups de bites virulents maintenant, j’ai tété son bout de sein. Cela a suffit pour la faire partir. Un orgasme fulgurant! Elle a crié et dans l’instant je suis parti aussi en longs jets brûlants, mêlant ainsi mon sperme à celui de son amant. Cette nuit, nous nous sommes révélés insatiables. Elle n’a pas été avare de détails. Et chacune de ses précisons nous enflammait. Cette nuit, nous avons longuement discuté. Elle m’aimait toujours, mais avait désormais besoin de son amant. Puisque cela m’excitait, autant en profiter. Ça faisait de moi un mari très performant. Et c’est ainsi que nous avons conclu ce curieux accord. Je l’autorisais désormais franchement, à retrouver son amant, à chacune des soirées ...