1. Sarah 4


    Datte: 09/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... surveillaient comme des manches, pourquoi ne pas en profiter pour s’éclipser tous les deux, et soulager nos envies de sexe intense ? Je fis signe à Sarah, tâchant de lui faire comprendre ce que je voulais. Ses yeux s’aggrandirent lorsqu’elle saisit le message, mais avec un sourire aguicheur, elle fit signe qu’elle était d’accord. Elle se retira la première, discrètement. Quelques minutes plus tard, je fis de même, bougeant lentement, me dirigeant hors de l’amphi à une allure d’escargot, n’osant pas respirer. Bien sûr, on avait le droit de quitter l’amphi pendant l’examen pour aller aux toilettes. Théoriquement, on devait demander la permission, mais si on le faisait sans, ce n’était pas non plus la fin du monde. En revanche, si quelqu’un était déjà parti aux toilettes, on devait attendre qu’il revienne… Si les examinateurs avaient été attentifs à leur travail, ils auraient vu Sarah partir la première, et m’auraient dit de rester. Mais on risquait encore plus gros : si on nous surprenait ensemble dans les toilettes, on pourrait croire que nous trichions, et alors là, ça serait notre fête… Et d’ailleurs, si on découvrait ce que nous faisions vraiment, ça ne serait guère mieux. Baiser dans la fac est déjà interdit, alors en plein examen… Mais qu’importe : le désir était trop grand, à la seule idée de devoir attendre jusqu’au soir pour me faire Sarah, j’avais l’impression de mourir de frustration. Je la vis entrer dans des toilettes. Après avoir vérifié que personne ne nous ...
    ... voyait, je la suivis. Un seul cabinet était fermé, j’en déduisis que Sarah était dedans. J’ouvris la porte, et entrai à l’intérieur. Sarah m’accueillit en me saisissant par le t-shirt, et me plaquant contre le mur, un sourire aux lèvres. Elle m’embrassa suavement, et je lui rendis son baiser, mes mains s’élançant vers son fessier, que je massais avec vigueur et enthousiasme. Notre baiser s’intensifia, je goûtais à ses lèvres, me sentant de plus en plus comblé dans mes désirs. On se sépara, haletants, et excités. « On risque gros, t’es au courant ? » « On a le choix ? répliquai-je. » Comme moi, elle était essoufflée, le visage légèrement rougissant, et elle tremblait de désir. Il était évident qu’on avait dépassé depuis longtemps le point de non-retour. « Non, souffla-t-elle. » Je la repoussai, et la plaquai contre le mur d’en face, et elle poussa un petit gémissement d’excitation. Nous n’avions pas énormément de temps, alors je passai tout de suite aux choses sérieuses. Je la soulevai, et lui retirai son mini-short et son shorty, et elle me débarrassa de mon pantalon et caleçon. Avec vigueur, je la pénétrai, et me mis à la baiser contre le mur. Toujours anxieux à l’idée qu’on nous découvre, j’allai très vite, lui infligeant de puissants coups de reins qui la faisaient sautiller entre mes bras, et la culbutaient contre le mur. Elle se mit à gémir, de plus en plus fort, et je la bâillonnai avec une main, pour ne pas qu’on nous entende. C’était extrêmement excitant de la prendre ...
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