Les collants... c'est le pied ! (1)
Datte: 10/09/2018,
Catégories:
Lesbienne
... dentelle blanche de Laurène était déjà très humide alors que le string délicat noir d’Elsa était lui aussi en train de se remplir doucement. La sève montait pour toutes les deux et la moiteur de leurs sous-vêtements était maintenant plus que perceptible. Lacyprine de Laurène commençait à dépasser des bords de sonslip quand sa copine posa délicatement sa main à l’intérieur de sa cuisse droite. Elle sentit alors l’humidité de sa partenaire envahir son doux collant par capillarité, ce qui ne manquait pas de redoubler son excitation. La main d’Elsa entamait un va-et-vient lent et sensuel, la paume sur le flanc intérieur de la cuisse effectuant un balancier d’avant en arrière, entre l’aine et l’entrée des fesses, encore fermées et délicatement délimitées par sa culotte blanche qui n’en pouvait plus de contenir le liquide de plaisir que Laurène ne cessait d’expulser, de plus en plus libérée et décomplexée. Laurène laissa échapper un petit cri de plaisir, Elsa sourit en se mordillant la lèvre inférieure. C’était parti, désormais le point de non retour était atteint et, elles le savaient toutes les deux, aucune d’entre elle ne lâcherait le morceau sans avoir atteint un plaisir olympien ! Cela démarrait terriblement bien .... Elsa caressait maintenant Laurène de plus en plus fort. À chaque va-et-vient elle appuyait de plus en plus la tranche de sa main, de manière à ce que cette dernière se cale de maniere hasardeuse dans la fente de sa partenaire. Cela commençait à perler dans ...
... l’entrecuisse de Laurène. Il n’en fallait pas moins pour décider Elsa à quitter provisoirement la bouche de sa chérie pour aller faire traîner sa langue dans cette zone humide que tous ses sens, et notamment l’odorat et le goût, appelaient irrésistiblement à visiter. Elle approchait alors son visage des fesses de Laurène, allant et venant de haut en bas en appuyant sa joue contre le collant et la culotte qui, semblait-il, n’allaient plus rester longtemps en place. Elle finissait ainsi par descendre d’un geste ces deux sous vêtement qui lui laissaient découvrir le sexe humide de sa partenaire. Laurène était naturelle et n’était pas du tout épilée. Sespoils noirs frisés couraient depuis le bas de son ventre jusqu’à son anus, s’éparpillant sur les côtés du maillot et à l’intérieur des fesses. Autour de son vagin ses poils étaient déjà très mouillés, on distinguait un filet humide qui permettait de localiser l’entrée de sa caverne secrète, qu’elle était bien décidée à ouvrir aujourd’hui. Elsa n’hésita pas. Elle commença par lui lécher doucement les fesses, sur le côté, puis rapidement alla franchement à l’intérieur, et, du bout de la langue, lui assénait de subtiles léchouilles sur les bords et au centre de son anus poilu. Plus elle humidifiait le cul de Laurène, plus cette dernière prenait du plaisir et laissait ses sphincters se détendre et ouvrir le trou de ses fesses. Elsa en profitait pour y glisser le bout de sa langue. Elles jouaient ainsi toutes les deux : Laurène ouvrait ses ...