Le jour où je fus déniaisé (1) - Histoires de Sexe

Le jour où je fus déniaisé (1)

Cette histoire pour vous raconter comment je fus déniaisé. A l’époque, j’étais adolescent et c’est avec mon entier consentement que cela est arrivé. A cet âge-là, je sortais déjà beaucoup le samedi soir. Nous étions 3 copains, toujours ensemble. Parmi nos fréquentations il y avait un homme politique liégeois bien connu pour son homosexualité. Souvent il nous invitait tous 3 au restaurant, parfois il se permettait de caresser l’un ou l’autre sous la table. Par 2 fois il m’a sorti le sexe du pantalon et m’a masturbé en toute discrétion. Jamais ça n’a été plus loin (sauf pour un de mes copains). J’habitais avec ma mère (parents séparés) qui, je ne sais comment, a eu vent de cette fréquentation et a pris peur que je ne sois gay (désolé pour son manque de tolérance). Elle a alors pris les choses en mains (si je puis dire). Nous habitions dans une maison où la salle à manger et le salon étaient 2 pièces distinctes séparées par une porte. Un jour, alors que je regardais la télévision au salon, est arrivée un couple d’amis à elle. Un moment donné, alors que le mari est resté dans la salle à manger avec ma mère, la femme est venue me rejoindre au salon. J’étais dans le canapé et elle a pris place à côté de moi. Je ne me souviens plus du tout de notre conversation, mais bien qu’à un moment donné j’étais en train de l’embrasser et lui peloter les seins. Cela a duré quelques minutes puis elle est retournée auprès de son mari et de ma mère. Quelques jours plus tard, prétextant (je l’ai ...

... compris par la suite) des courses à faire, ma mère est partie en me disant que son amie allait venir et que je lui tienne compagnie jusqu’à son retour. Effectivement, ma mère à peine partie de 10 minutes qu’on sonna à la porte. C’était son amie Patricia comme prévu. Elle était habillée d’une petite jupe, très courte pour son âge (36 ans) et d’un chemisier blanc. Naïf, je n’y ai guère prêté attention à ce moment-là. Je l’ai invité à entrer et nous nous sommes assis dans la salle à manger. Quelques minutes de banalités puis elle m’a demandé pour voir ma chambre. Je vous assure qu’à ce moment-là je n’ai vraiment pas imaginé ce qui allait suivre ! J’avais encore une certaine innocence et j’étais puceau. rartten Une fois dans ma chambre, elle s’est assise sur le lit. Très vite elle m’a fait comprendre ce pourquoi elle était venue. Tout en me parlant, elle a déboutonné son chemisier. Elle m’a demandé si j’avais aimé notre petit flirt de la semaine précédente et a ajouté que cela lui avait fortement plu. Elle a tendu la main vers moi, pris la mienne et m’a attiré vers elle. Niais, je restais ainsi immobile. Elle m’a demandé de lui caresser la poitrine et j’ai obéi. Alors que je la pelotais gauchement, elle a ouvert mon pantalon et s’est emparée de mon sexe qu’elle a commencé à branler. Je bandais ferme, innocent mais pas impuissant. Quand elle l’a porté à ses lèvres j’ai cru défaillir d’excitation. C’était la première fois qu’on me suçait et, de plus, c’était la copine de ma mère. Il ...