1. J'ai baisé la vendeuse du sexshop.


    Datte: 31/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Libertin depuis de nombreuses années et grand amateur de tout ce qui touche au sexe, j’ai toujours fréquenté les sex-shops pour y découvrir les dernières nouveautés des films X et des divers gadgets pour pimenter les ébats avec les maîtresses que j’avais la chance de ramener chez moi. Dernièrement ( l’histoire remonte à 1997 ) je me trouvais dans le magasin dans lequel j’avais pris certaines habitudes pour le fréquenter assidument car il est bien fourni et le personnel très sympa. Ce soir-là, une des vendeuses me décrivait les avantages des pompes pour agrandir le pénis. Je n’en ai pas spécialement besoin car les dimensions du mien me conviennent parfaitement, certes, il n’est pas très long mais assez trapu, avec un gland en forme champignon. Mais cela m’amusait de la voir faire son baratin comme si c’était elle qui les utilisait. Elle a été un peu déçue lorsque je lui ai dit qu’à plus de cinquante ans je n’étais pas acheteur car j’estimais que je n’en avais pas besoin. En riant je lui ai dit que si moi je n’avais pas besoin de développer ma bite, elle, elle devrait penser à faire développer ses seins. Anna, petite brunette mesurait environ 1,60m avec des cheveux mi-longs tombant sur les épaules, elle avait un visage ovale avec des yeux noirs, un nez droit et des lèvres mince d’un rouge vif. Je la connaissais bien car nous plaisantions souvent ensemble car je me sentais plus proche d’elle que des autres vendeuses bien plus jeunes. Ce soir-là, elle portait une robe courte ...
    ... très échancrée sur le devant qui, lorsqu’elle se baissait, laissait voir sa poitrine menue aux tétons à peine dessinés. Le dos, maintenu par des bandes de tissu, était encore plus ouvert et laissait apercevoir le haut du sillon fessier. Agée d’une quarantaine d’années, elle avait les yeux qui pétillaient de malice et de lubricité quand elle faisait l’article. Ce devait être une gourmande du sexe et comme vendeuse elle semblait être tout à fait à sa place dans ce genre de boutique. Nous étions seuls dans le magasin et il à près de 22 heures, l’heure de la fermeture approchait. Elle devait aller chercher dans la réserve au sous-sol un carton contenant divers articles pour les mettre en vitrine le lendemain matin avant l’ouverture des portes. Mais, trop haut pour elle, cela lui était impossible. Après avoir verrouillé la porte d’entrée, elle me demanda de lui rendre service. Arrivés au sous-sol, elle me montra le carton en question en se dressant sur la pointe des pieds et en levant les bras. Waouh quelle vue. Dans cette posture sa robe courte découvrait le pli de ses fesses et je voyais la ficelle de son string. Je n’ai pas su résister à l’invitation et, m’approchant encore plus, j’ai pris ses fesses dans mes mains. Au lieu de protester, elle s’est laissée faire en frottant ses fesses contre moi. J’avais la bite raide dans mon slip. Elle s’est retournée et, passant ses bras autour de mon cou, elle est venue se mettre à cheval à hauteur de mes hanches. Sa bouche a cherché la mienne ...
«123»