1. Les yeux de la voisine. (1)


    Datte: 11/09/2018, Catégories: Hétéro

    ... permis de partager cette passion avec d’autres femmes que la mienne. Ce n’est qu’un palliatif mais très appréciable. — C’est vrai, j’y pensais plus à ça. Moi, je crois que j’en serais incapable. Je suis trop pudique. En plus, j’aime pas mon corps. (Pudique ! c’est la meilleure celle-là !) — T’es con ! T’es super bien foutue ! Elle fait une moue sceptique. — Si, je t’assure ! Je me rappelle d’une fois où t’es sortie dans ton jardin en legging. Tu étais de dos et je me suis surpris à relever la tête deux fois pour être sûr que c’était toi. Et je m’étonnais de ne jamais avoir remarqué ton joli cul avant. — Faut dire que je sors rarement faire du jardin en collant moulant ! -ironise-t-elle- La conversation continue ainsi plusieurs heures durant. Elle perds le fil de sa conversation par moment et je me dis que ce n’est pas forcément le punch qui en est la cause... On est tous les deux sur le canapé tournés l’un vers l’autre et je la fixe dans les yeux. Ils sont vert. Vraiment jolis en plus. étonnant que je ne l’ai jamais remarqué plus tôt. — Tu as vraiment des yeux magnifiques en fait. Elle est coupée dans son élan et ne sais plus quoi dire. Je lui souris, mon coude posé sur le dossier du canapé, ma main retenant ma tête. Elle me regarde : — Non ! Je te vois venir ! Elle sourit aussi. Je me rapproche et pose ma main sur sa jambe replié sous elle. Je la fixe. Elle lève les yeux au ciel. Visiblement, elle cherche à accrocher son regard ailleurs que sur moi. N’y parvient pas et ...
    ... replonge son regard dans le mien. — Non ! C’est pas une bonne idée ! — Tu as peur d’apprécier ? -lui dis-je, comme par défi- — Arrête ! ... Aucun geste de sa part. C’est un signe... Je me rapproche encore. Je caresse doucement sa cuisse. — Arrêêêêête ! -insiste-t-elle- Il ne faut pas ! J’ai pas du tout envie de m’arrêter. Je me rapproche encore un peu. J’ai maintenant mon visage à quelques centimètres du sien. Ils sont vraiment beaux ses yeux. D’un beau vert émeraude pailleté d’or, en amande. Son petit nez retroussé me plait bien aussi. C’est vraiment une belle femme. Et je lui dis. wtrwqqzi — T’est vraiment une belle femme. — ... Elle me fixe. Ces derniers temps, j’ai décidé de dire ce que je pensais. Surtout si c’est gentil. On garde trop pour soi ce genre de douceurs sous prétexte d’être gêné après. Du coup, on ne se dit que des choses banales ou pire encore, méchantes. À quoi bon ? Je reprends donc : — Je ne te force pas. Si tu n’aime pas, tu peux me repousser. Je ne me vexerai pas. promis. J’approche ma bouche de la sienne, passe tout près et lui dépose un baiser dans le cou. Elle penche la tête en arrière et laisse entendre un long soupir. J’en suis ravi. Je remonte ma main le long de sa cuisse qui viens effleurer son intimité. Il lui va bien ce jean... Elle souffle un dernier "arrête" dans un murmure à mon oreille. Je passe mes lèvres le long de ses joues, sur son menton, son cou. Je remonte et lui embrasse tendrement une paupière, puis la tempe droite. Je descends lui ...
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