1. Florence bourge débauchée


    Datte: 11/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Je vais, sous forme de récit, te raconter afin de t’inciter (comme si tu en avais besoin !) ce qu’il pourrait se passer ce jeudi. Florence est une adorable bourgeoise, mariée, la quarantaine mais jamais satisfaite. Elle aime les aventures, le sexe, les sexes, les endroits insolites, les vieux vicelards et les jeunes bien montés. Elle aime jouer les salopes malgré ses dehors respectables. Blonde, des formes qui font se retourner les hommes lorsqu’elle déambule dans les rues, tortillant ses hanches, son cul qu’elle aime offrir (pas seulement aux regards). Jeudi elle doit, contrainte par une histoire que je passe sous silence, se livrer à un routier qui a envie de se soulager dans sa chatte. Faire la « vide-couilles », comme elle dit, ne lui déplait pas, elle fait ça de temps à autres toujours avec le sentiment d’enfreindre un interdit et d’y trouver de folles satisfactions. Elle a à la fois un peu peur et en même temps elle mouille comme une folle en pensant à ce type. Il faut ajouter au tableau le fait que son mari (heureusement absent ce jeudi) ne doit rien soupçonner. Elle va être très gentille avec lui toute la journée afin qu’il ne se doute de rien. Et puis, aussi, il ne faut pas oublier qu’il y a un « vieux vicelard », un réel ami, qui a dit vouloir assister en tant que voyeur à la scène. Elle aime bien ce type qui sait l’orienter, la conseiller, l’inciter à la débauche, la pousser au vice, l’exciter. Il est très voyeur. Elle n’a pas envie de le décevoir. Au contraire, ...
    ... elle serait heureuse de savoir qu’il bande et qu’il se branle en la voyant faire la pute. Cela la fait mouiller rien qu’à y penser. Ce jeudi, Florence est donc d’humeur très salope. Elle a baisé avec son mari comme elle ne l’avait pas fait depuis longtemps. Elle a tous ses trous et fentes prêts pour son aventure nocturne. Elle se sent très pouffe, quasi libérée, joyeuse de faire des puteries, de faire plaisir aussi à son vieux cochon de voyeur. Elle se prépare, son mari est parti pour son travail. Elle s’habille comme son camionneur lui a demandé de le faire, même si elle n’a pas l’habitude, mais pute pour pute ! Mini jupe en cuir assez large, bottines à talons, débardeur échancré sans soutif et, dessous une petite culotte blanche en coton (chacun ses goûts se dit-elle – si ça lui plait, allons). Elle souffle un peu, écrit un email à son « vieux salopard » tout en buvant un verre. Elle sent qu’entre ses cuisses, ça coule, elle se tripote comme une folle, à la limite de la jouissance. Elle a folle envie de jouir. Elle dit ça à son ami qui la pousse à se toucher, qui lui dit qu’il a la queue dressée en pensant à elle, qu’il se branle, qu’il attend de la voir se faire défoncer. Il est temps de partir. Elle va dans sa voiture au lieu du rendez-vous. Son camionneur est là. Sur le parking. A première vue il ne lui plait pas (assez corpulent, vulgaire d’apparence, prolo, en somme,alors qu’elle est féminine, fine, belle, bourgeoise. Rapports de classes !) Qu’importe, elle est là pour ...
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