1. Drague dans le métro (1)


    Datte: 12/09/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... toute la main dans l’anus, il s’en rend compte et se retire un peu. Cette fois, je dois me calmer un peu, je ne veux pas sortir du métro en bandant. Je fais comprendre à l’inconnu qu’il doit arrêter car je suis dans un état qu’il me sera difficile de dissimuler si je sors du métro. Il dégage sa main, se penche un peu et me remonte le short. Il se saisi de ma main et la glisse dans sa braguette qu’il a descendu. Lui non plus n’a pas de sous-vêtement et je tombe directement sur son énorme bite. Je n’arrive pas à en faire le tour avec ma main, elle n’est pas loin des cinq centimètres de diamètre. Non seulement elle est énorme, mais en plus elle possède un gland beaucoup plus gros que la tige, j’adore ce genre de sexe. Je la caresse un petit moment, elle est raide comme un bout de bois. Je me demande comment il va sortir du métro sans que tout le monde constate son état. Quand le métro s’arrête à Champs-Elysées Clémenceau, je lui libère la bite. Nous restons collés l’un à l’autre sans bouger. Arrivée à George V ou l’on doit descendre, ma bite est revenue à un état normal et je descends derrière l’homme. Il se retourne, c’est un homme de mon âge, assez grand, brun pas spécialement beau, mais avec un visage agréable. Il semble assez athlétique, en tout cas, il est mince et sa chemise est assez gonflée, on sent qu’il est bien musclé. En fait, lui aussi est en short. Je remarque que son sexe est bien dégonflé mais qu’il est assez proéminent et se détache bien sur le côté gauche de ...
    ... son short. Pas de doute, c’est un monstre. –Moi, c’est Pierre. –Moi, c’est Jean. –Suis moi, c’est juste à côté. Nous sortons de la station et, effectivement, son immeuble n’est qu’à dix petites minutes de marche. Nous entrons dans un immeuble cossu du dix-neuvième siècle. Nous prenons l’ascenseur ancienne mode complètement ajouré. L’ascenseur a à peine démarré que Pierre plonge ses mains entre mon short et mes fesses. –J’adore tes fesses, tu permets ? Je n’ai pas le temps de répondre que mon short est déjà à la hauteur de mes genoux. Il le descend jusqu’en bas, j’entre dans le jeu et soulève mes pieds l’un après l’autre pour qu’il me l’enlève complètement. Je suis dans un ascenseur complètement transparent et qui monte lentement, le cul à l’air à me faire caresser les fesses. Il n’y a malheureusement personne aux paliers, je pense que cela aurait été assez marrant. Nous arrivons à son étage, il ouvre la porte et je sors sur le palier, le short à la main, la bite déjà bien raide et le cul à l’air, ma chemisette n’arrivant qu’à couvrir le haut de mes fesses. Il met un certain temps à ouvrir la porte, en moi-même, j’aimerais bien que quelqu’un ouvre une des portes du palier, mais il ouvre avant et me fait entrer dans un bel appartement entièrement rénové. Il me dit qu’il fait cent-vingt mètres carrés, qu’il a trois chambres, un salon salle à manger, deux WC, deux salles de bain et une grande cuisine. Le salon donne sur trois larges portes fenêtres, qui montent jusqu’au plafond, ...
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