1. An Daofin Meur (1)


    Datte: 12/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... seins se tiennent encore bien… Maryvonne était parti des épaules et étalait la crème solaire dans un doux massage qui lui permit de caresser tendrement la jolie poitrine de sa fille. Des seins, elle passa à son ventre, fit le tour de sa toison rousse, limitée au pubis, bien entretenue et taillée courte, dans laquelle elle essuya ses doigts avant de reprendre de la crème pour s’occuper de ses jambes. Elle partit des pieds et remonta le long des cuisses en chargeant bien l’intérieur jusqu’à atteindre les côtés de sa vulve épilée. Elle rougit un peu en voyant le sexe d’Enora s’entrouvrir et briller de plaisir, et insista légèrement sur cette zone fragile. Son travail achevé, Maryvonne s’allongea à son tour et sa fille lui rendit le même service. Enora ne fit aucune réflexion ni sur sa poitrine généreuse, un peu lourde, ni sur son sexe totalement épilé mais ses doigts graisseux glissèrent quand même jusqu’au capuchon de son clitoris qu’elle massa en douceur. Instinctivement, Maryvonne plia les genoux et écarta les cuisses, mais Enora passa directement à ses jambes. Elle s’occupa des pieds et des cuisses de sa mère, en remontant vers les genoux. Elle reprit de la crème et descendit ses mains le long des cuisses et ses doigts allèrent effleurer les fines lèvres du sexe impudique. Elle changea un peu de position et termina en ...
    ... protégeant l’ensemble de la vulve exposée. Elle le fit d’une seule main, qui glissait entre les cuisses ouvertes pour bien graisser les deux côtés charnus de la chatte de Maryvonne qui en gémit de désir. Enora ne dit pas un mot, elle était troublée et excitée et sans se poser de question, s’allongea sur le dos dans la même position que sa mère, genoux pliés et cuisses écartées. — Maman, j’ai l’impression qu’on vient de faire quelque chose de défendu… — C’était un peu limite, effectivement, mais c’est moi qui a commencé. Et puis, on n’a fait que de s’étaler de la protection solaire. — Maman ? — Je… Ça… Enfin, ça m’a excitée ; j’ai la chatte en feu. — Mmm… Moi aussi, Chérie… On est tellement bien, ce soleil, ce calme… Mmm… trftvvle Machinalement, la main droite de Maryvonne glissa vers son pubis et sa vulve trempée. Elle ne réfléchissait plus, son besoin de se caresser l’emportait et, le visage tourné vers le ciel bleu limpide, les yeux fermés, cachés par ses lunettes de soleil, elle se laissa aller à un plaisir solitaire. Enora, comprenant ce que sa mère faisait ne résista plus à son envie d’en faire autant. Elle plongea ses mains sur son intimité et se caressa le clitoris en se doigtant la moule. Elle se donnait du plaisir en pensant à sa mère allongée près d’elle et au spectacle indécent qu’elles offraient à son père et son frère. 
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