Une leçon de fellation
Datte: 12/09/2018,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
hagé,
voisins,
complexe,
revede,
Masturbation
nopéné,
init,
... cuisses… Ta chatte, tes poils, tes gros seins, ta taille fine, je ne pouvais plus résister.— Je voulais que tu me lèches.— Que je te lèche, quoi, la chatte ? Mais c’est dégueu !— Comment ça, c’est dégueu ! Et si je te faisais une fellation, ce serait dégueu ? Et puis tu n’as pas de préservatif. Tu ne pensais tout de même pas que j’allais te laisser me pénétrer ?— Bon, d’accord, j’ai eu tort. Mais Nicolas, il t’a baisée sans préservatif, non ?— Oui, et c’était une connerie. Dans tous les sens du terme. Il se penche pour prendre son caleçon. J’ai cependant envie de prendre du plaisir et de lui donner une leçon sur la manière d’en donner. Je lui prends la main et l’oblige à le reposer. Je m’assieds au bord du canapé, écarte les cuisses de part et d’autre des siennes. Il semble paralysé, ne sait plus quoi faire. Je lui prends la main gauche que je pose sur mon sein droit. — Tire sur mon téton ! Fais-le rouler entre tes doigts. Je lui prends l’autre main que je place entre mes cuisses. — Fouille ma chatte ! Sois curieux, n’oublie aucun endroit. Il se met à fouiller mon pubis, passe lentement ses doigts dans ma fente trempée. Son autre main tire mon téton. Je commence à éprouver du plaisir. J’empoigne sa verge, le décalotte et commence à le masturber. Nos respirations s’accélèrent. Ses doigts commencent à comprendre l’anatomie féminine. Il joue enfin avec mon clitoris. Bientôt, il enfonce deux doigts dans mon vagin. — Oui, Mickaël, je viens. Plus vite, tes doigts ! Je le masturbe ...
... très vite maintenant. Un jet puissant de sperme s’échappe de sa verge et asperge son buste et le mien. Hélas, il n’est pas parvenu à me faire jouir. — Navrée de vous avoir dérangés, dit tout à coup une voix qui vient de l’embrasure de la porte du salon. C’est Louise. Mickaël enfile son short à toute vitesse et sort en courant, manque presque de renverser sa sœur. Louise s’approche de moi. — Je me doutais que tu étais jolie. Mais en réalité, tu es très belle, Marie. Tes seins me rendent jalouse. Tu veux sans doute utiliser la salle de bains avant de te rhabiller, histoire de te débarrasser du sperme du frangin. Elle ne semble pas fâchée, plutôt abasourdie et rougissante. — Oui, Merci. Je veux bien. La porte d’entrée se fait entendre. Mickaël vient de sortir. Je me lave la vulve et la poitrine, puis me rhabille. Quand je regagne le séjour, Louise nous a fait un thé. — C’était très excitant ce spectacle, pour une vierge comme moi…— Tu es encore vierge, Louise ?— Oui. Parce que je n’ai pas encore voulu. Je ne savais pas que mon frangin s’y prenait aussi bien avec les filles.— Je l’ai un peu guidé, vois-tu ! C’est encore le genre ostrogoth, comme Nicolas.— Tu vas le dire à Nicolas ?— Quoi, que ton frère m’a explorée la chatte ? Parce qu’il ne m’a pas baisée, au fait…— Oui.— Je ne suis plus avec Nicolas depuis la soirée de fin d’année.— Pourtant ce n’est pas ce qu’il dit.— Je vais le lui écrire. C’est fini.— Je voudrais… Comment te dire… Quand je vais vouloir…— Allez, vas-y, parle ...