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Tahis et Tanis
Datte: 12/09/2018, Catégories: ffh, hbi, inconnu, hotel, Transexuels Oral hsodo,
Je n’ai pas dormi de la nuit tant l’excitation m’a tenu éveillé. J’ai décidé de concrétiser un fantasme qui m’a tenu compagnie ces derniers mois et dont l’assouvissement s’est imposé à moi avec force. Je me revois il y a quelques jours, trépignant devant l’écran de mon PC, mes doigts martelant frénétiquement le clavier pour rédiger le texte de mon annonce. Mon texte est concis, mais clair et exhaustif. Je sais ce que je veux vivre et j’espère trouver chaussure à mon pied dans cette immense foire qu’est internet, où le pire côtoie le meilleur. Une fois mon annonce validée, j’ai observé longuement ma boîte mail dans l’attente d’une réponse. Mon supplice a duré quelques heures au bout desquelles ma patience a été récompensée. La réponse était anonyme et sans photo, à l’image de la mienne, mais c’est exactement ce que je recherchais. Nous avons convenu du lieu, de la date et des modalités afin de m’assurer que chacune de mes doléances serait scrupuleusement respectée. Mon interlocuteur quoique surpris de la précision de ma demande a accepté de jouer le jeu. Le jour J est arrivé. Je suis arrivé avec une bonne heure d’avance pour me préparer. Je me gare dans le parking situé à l’arrière de l’hôtel situé dans un quartier calme à quelques encablures de l’agitation du parvis de la Défense. Je récupère la clef de ma chambre et m’engouffre dans l’ascenseur. À peine arrivé dans ma chambre, je m’empresse de monter le chauffage et de tirer les rideaux. Voici donc le théâtre douillet de ...
... mon fantasme. L’avais-je imaginé ainsi ? Probablement pas, mais la décoration aseptisée du lieu ira parfaitement, d’autant que tout va se passer sur le lit que j’ai choisi de bonne taille. Je me déshabille et me dirige vers la douche sous laquelle je m’abandonne. L’eau brûlante ruisselle sur mon corps qui se détend tout autant qu’il se laisse gagner par l’excitation. Je sors un rasoir que je dirige vers mon sexe. En quelques minutes, il retrouve l’allure glabre de ma préadolescence. Je souris de voir mon engin ainsi nu, lui qui arbore d’habitude une luxuriante toison. Je sors de la douche propre comme un sou neuf et me sèche lentement. L’heure passe et les hostilités débutent dans trente minutes. Je m’allonge sur le lit un instant et savoure le silence à peine écorché par le bruissement lointain de la circulation. L’air paraît immobile et chaque parcelle de ma peau devient de plus en plus réceptive. Mon sexe s’anime lentement à mesure que j’ai le sentiment de me diluer dans l’atmosphère de la pièce. Je jette un œil sur l’heure. Encore dix minutes. Je me lève et vais chercher les accessoires dans mon sac pour les disposer sur le bureau en face du lit. Mes hôtes n’auront qu’à venir chercher un à un les ustensiles de mon plaisir, et du leur. Mon cœur s’emballe à la vue de ces objets. Trônent ainsi un tube de lubrifiant aseptique, un crochet anal, des pinces métalliques dentelées et deux cordelettes de nylon rouges enroulées. Je retourne m’asseoir sur le lit pour mettre la touche ...