une femme cougar
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
Anal
Mature,
On dit de moi que je suis une jolie brune aux yeux verts. À 43 ans, s’il y a un truc qui me fait vibrer, c’est bien le sexe. J’habite Bruxelles, dans un immeuble bourgeois où tous les voisins s’apprécient. Aussi, quand Charles, mon voisin de palier, un vieux beau toujours pressé, m’a demandé de relever son courrier pendant ses vacances, j’ai accepté. Un matin, une dizaine de jours après son départ, j’ai entendu du bruit chez lui. Pensant qu’il était rentré, j’ai sonné à sa porte pour lui apporter son courrier. Et là, surprise, je suis tombée sur un type d’une vingtaine d’années, un grand blond aux muscles saillants, quasiment nu, si ce n’était un slip qui laissait deviner des formes pour le moins avantageuses. Je ne me suis pas démontée. Lui non plus d’ailleurs. Très naturellement, désarmant même, il m’a invitée à boire un café.J’étais vêtue d’une minijupe et d’un body noir qui moulait mes seins ronds et pointus dont je ne suis pas peu fière. Je me suis installée dans le canapé, sans serrer mes cuisses comme j’aurais dû le faire, car ce bel éphèbe m’excitait. J’avais un mal fou à me contenir. Il est revenu avec des tasses et s’est assis près de moi. Tout en me parlant, il me scrutait sous toutes les coutures, s’attardant sur mes cuisses. Moi, je bombais les seins pour l’inciter à continuer. Mon regard lubrique s’est posé sur ses parties intimes et, voyant qu’il y avait du mouvement là-dessous, j’ai avancé ma main et j’ai malaxé son paquet. Ça a eu tout de suite l’air de lui ...
... plaire. Pas de chichis, on en avait envie tous les deux. J’ai baissé son slip, c’était beau, ça donnait faim. Son odeur était forte, ça m’a mise dans tous mes états. Il s’est laissé faire puis s’est levé, a retiré son slip et s’est agenouillé devant ma chatte. Il a ôté ma culotte, écarté mes jambes, regardé mon petit minou épilé et s’est mis à le laper: il me mangeait littéralement le sexe. J’avais la sensation d’être tout entière dans sa bouche: c’était un as du cunni ! Il s’est attardé sur mon dito qui a grossi et durci ! J’étais trempée le long des cuisses. Quand j’ai joui — parce qu’il est allé jusqu’au bout —, des vagues de plaisir, chaudes et enveloppantes, m’ont submergée. J’étais au sommet de l’une d’elles quand il a enfonce d’un coup son membre en moi.Je sentais son bassin contre mon ventre, sa sueur de jeune mâle perler sur mes seins. Sa queue se collait tout au fond en donnant de petits à-coups puis glissait en arrière jusqu’à ce que seul le bout de son gland reste en moi. C’était bon. J’ai promené un doigt derrière, le long de sa raie, puis je suis remontée jusqu’où il faut. Ça m’a donné des idées. Un désir violent m’a saisie d’avoir sa bite au fond de mon cul. Je lui ai pris les cheveux, les lui ai tirés en arrière en le fusillant du regard pour qu’il arrête. Et là, je lui ai intimé: « Encule-moi fort! » Il ne s’est pas fait prier: U a entré son gland tout doucement pour me desserrer, après m’avoir bien léché l’oeillet. Et, petit à petit, il a pris possession de ...