Massages du monde
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
fh,
couleurs,
frousses,
couple,
extracon,
cocus,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
... faisait à l’instant. À chaque passage, il enfonce ses doigts plus profondément dans la raie, et à chaque fois Véro soupire un peu plus fort. Je dois me rendre à l’évidence : devant moi, Andres est en train de masturber le cul de Véronique. Caché derrière mon rideau, je ne peux détacher les yeux de ces pouces qui s’enfoncent maintenant complètement entre les fesses de ma femme. Je n’ose pas intervenir, par excitation mais aussi par curiosité, pour voir jusqu’où elle est prête à aller avec Andres. Peu à peu, il décale sa main et se met à la caresser avec son majeur, de bas en haut, insistant entre ses lèvres comme au niveau de son anus. Véronique souffle et l’encourage : — C’est bon comme ça, continue… Andres s’agenouille alors entre les jambes de Véronique et approche sa tête de ses fesses, se collant le visage contre son sexe. Je vois la tête d’Andres monter et descendre entre les fesses de Véro, qui ne cache plus son plaisir : elle met ses bras en arrière pour écarter ses fesses et dit à Andres : — Viens, prends-moi maintenant. Andres se relève, baisse son pantalon de toile, fait sortir son sexe déjà en érection et se dirige vers le sexe de Véro. Tout est complètement fou ; je devrais hurler pour l’arrêter mais, bizarrement, je ne ressens aucune jalousie, juste une énorme excitation. Véronique dit alors : — Non, pas par-là… Je ne prends pas la pilule. Ce « pas par-là » est pour moi comme un coup de fouet. Mais Andres ne se formalise pas, relève un peu son sexe et appuie son ...
... gland contre l’anus de Véronique. Véronique et moi n’aimons pas la sodomie, et en sept années ensemble je ne l’ai enculée qu’à deux reprises, dans le feu de l’action, à certains moments particulièrement chauds. Pourtant, devant moi, Andres enfonce son gland entre les fesses de Véro. — Ah, ah… Doucement, prends ton temps… Voilà… Hummmm… c’est gros, mais c’est bon… Je suis tétanisé. Depuis des mois, nous faisons l’amour en missionnaire, jambes relevées pour faciliter la conception, et Véronique est là, devant moi, en train de se faire enculer par Andres, son gland maintenant complètement enfoncé en elle. Il la prend par les hanches et commence de petits allers-retours, toujours plus profonds, pour pénétrer entre ses fesses. Je n’en peux plus. Pas de jalousie, non : j’ai envie, moi aussi, d’enculer ma Véronique, et tout de suite. Alors je referme silencieusement le rideau, reviens vers l’entrée de la salle de massage, et ouvre bruyamment la porte en criant : — Alors Véro, ça se passe bien ? Immédiatement, un remue-ménage se fait entendre derrière le rideau : — Oui, très bien, j’ai presque terminé, laisse-moi une minute ! J’arrive, j’arrive ; assieds-toi ! Même si je n’avais rien su, le seul ton de sa voix m’aurait probablement étonné, avec ce débit saccadé et cet accent paniqué. Mais je fais celui qui ne voit rien et m’assieds tranquillement. Véronique sort deux minutes plus tard, le visage rougi mais s’efforçant de faire bonne contenance. — Tu n’as pas terminé ton massage ; ça ...