Histoire pour quatre
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
ff,
fhh,
couplus,
fsoumise,
noculotte,
Oral
fsodo,
init,
... moi. Il grogne de plaisir et sort sa bite de mon sexe bouillant : — Non, encore ! Prends-moi plus fort ! je lui hurle. Mais déjà, il frotte délicatement son bout contre mon cul, mais la précaution est inutile car il rentre tout seul, tellement je suis huilée ; et il commence un va-et-vient digne d’un rodéo : — J’aime ton cul, j’adore te baiser comme ça, tu es trop bonne ! grogne-t-il en me défonçant. C’est trop bon, je n’en peux plus ! Il ne me manque qu’une chose pour parfaire le tableau, et il me la propose, comme s’il lisait en moi, en m’ordonnant : — Suce Alain, prends-le jusqu’au bout ! Alain prend son sexe, me l’enfonce dans la gorge et commence à me baiser la bouche. Olivier m’attrape les cheveux et appuie sur ma tête jusqu’à ce que mes lèvres touchent le ventre et les couilles devant moi… Je suis pleine de partout, ma tête est prête à exploser. Mon Maître me parle pour garder le contact, pour que je ne perde pas pied, ses mots sont crus, et ça m’excite, je ne sais plus où je suis, ni qui je suis. Je me retrouve transportée dans un tourbillon d’extase, un orgasme magnifique, jamais atteint jusqu’à ...
... présent. Mes cris de jouissance ne permettent plus à Alain de se retenir et il explose dans ma bouche. Sa douce compagne me rejoint pour lécher le sexe de son mari et ne pas gaspiller ce foutre qu’elle adore, et nous léchons ensemble cette queue qui nous a fait jouir. Lui, mon Maître, dans sa maîtrise du plaisir et de l’orgasme, observe tout ceci avec une joie non dissimulée. Il est fier de sa petite soumise qui a su se donner, partager, offrir et recevoir tant et tant de plaisir. Nous laissons le couple se retrouver et il revient en moi doucement, langoureusement comme pour apaiser la tempête que je viens de vivre. Tantôt, il plonge ses yeux dans les miens, tantôt il m’embrasse tendrement, tantôt il me parle avec douceur mais fermeté. Et pendant que nous nous disons merci, je sens son sexe gonfler, palpiter, et là, il se déverse en moi dans un râle animal qui me rappelle qui il est pour moi : mon Dominant, mon Maître de tous les plaisirs. Le calme revenu, je le regarde avec adoration : un sourire tout simplement émerveillé par ce que nous venons de vivre ensemble, illumine son visage ; c’est beau. Il est beau.