Escapade seule en forêt (1)
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Voici comment tout à commencer. Delphine esthéticienne de 40 ans, aimant la nature et la randonnée. Récit co-écrit avec mon mari ;) J’étais partie me promener en montagne du côté de Manosque. La journée était au beau fixe, j’en avais profité pour pique-niquer devant une bastide à l’abandon ou nous avions l’habitude d’aller avec mon mari. Après le repas, je m’étais assoupie sous un arbre dans l’herbe fraiche. Le coin était désert, aucun passage. Ce lieu est vraiment un coin tranquille, agréable, presque sauvage. Je fus réveillée, par la venue d’un beau chien, un épagneul. Sur le coup, je fus très surprise, un chien de chasseur qui s’était baladé et égaré peut-être. Je commençai à caresser le chien qui appréciait de plus en plus mes caresses, surtout celles situées sur son bas ventre. Cela avait pour effet de le faire bander un petit peu et c’est comme ça que je pris plaisir à observer la bite canine rouge du chien sortir de son fourreau. De plus en plus intéressée, à la vue de cette belle pine, mes caresses se prononçaient de plus en plus et délicatement mes doigts glissaient autour jusqu’à la caresser. Mon envie obscène alla plus loin, je me sentais désireuse. Mon rythme cardiaque avait sensiblement augmenté. Une envie de baiser comme une cochonne, de découvrir cette pine m’envahit. Je me mis à caresser la verge du cabot puis à le branler délicatement. La bite grossit. Je m’arrêtai tentant de reprendre mes esprits, mais le chien ne comptait pas en rester là, maintenant que ...
... sa verge avait atteint sa taille en érection et était sortie de son fourreau. Il avait sans doute senti la mouille de ma chatte se répandre humidifiant mon string. J’étais tout excitée et l’animal l’avait bien senti. Il essaya de me renifler l’entre-jambes, et surprise je le repoussais. Le chien était insistant, revenant entre mes cuisses pour me renifler. Mais cette situation ne dura que peu de temps. A la réflexion, je me dis que pourquoi ne pas se faire lécher la chatte par ce toutou. Il allait sans aucun doute me faire le plus grand bien. Inquiète, je regardais autour de moi avant de remonter ma robe pour mieux retirer mon string et j’écartais mes cuisses pour permettre au chien de venir au plus près de mon sexe. J’appelai le chien en tapotant sur ma chatte humide de cyprine. « Allez viens mon chien, ma chatte est à toi, viens me la lécher » Le chien ne se fit pas prier, il enfouit sa truffe sur mon vagin et je poussai soudain un cri de satisfaction. Après l’avoir bien respiré, le chien se recula et se délecta de cette mouille. Je dois confesser avoir pris un pied d’enfer, je regardais le chien entre mes cuisses qui me lécher la chatte avec sa longue et rugueuse langue. J’aimais ça, à vrai dire, le chien la léchait plutôt bien et la langue râpeuse était divine. La langue partait de mon anus, recueillant ainsi la mouille chaude abondante qui coulait dans ma raie pour remonter jusque sur mon clitoris. Parfois, la langue du chien entrait dans mon vagin et me faisait crier de ...