1. Mon super anniversaire (1)


    Datte: 15/09/2018, Catégories: Lesbienne

    ... pointer. — Un pointer, c’est quoi ? — Un chien qui ressemble à un dalmatien mais en plus musclé. — Un chien !!!! — Oui, et je peux te dire que c’est génial. — Oui, j’ai entendu parler de la zoophilie, mais je n’y ai jamais pensé pour moi. — C’est la première fois pour moi aussi, et j’aimerais aller plus loin, mais pas seule, tu voudrais bien venir avec moi ? — Bien sûr, mais quand ? — Je n’en sais rien, il faut que je téléphone à la dame. — OK, mais pas aujourd’hui, j’ai envie d’être avec toi, je voudrais qu’on s’amuse toutes les deux, d’accord ? — D’accord, je suis avec toi pour la journée, mais tu sais que j’adore me montrer, et ça, tous les jours. — OK, on sortira. — Bon, et pour le chien ? — Téléphone à ta petite vieille. Je téléphone, elle est surprise que j’appelle si vite mais nous nous mettons d’accord pour le lendemain dix heures, elle est assez pressée de me revoir et me décrit un peu ce qui m’attend. Elle est d’accord pour Julie, en plus, elle n’habite pas loin de chez moi. Une fois le rendez-vous pris, et installées sur le divan, je lui raconte tout ce qui s’est passé ce matin en détail, elle est aussi excitée que moi à la fin du récit. Il n’y a personne en face, ça ne nous empêche pas de faire l’amour. Après une minette chacune, elle décide de sortir l’artillerie lourde. Comme moi, elle a une belle collection de godes, mais je ne me sens pas d’utiliser ces engins chez elle, je veux me donner en spectacle devant beaucoup de gens, et pour ça, je ne connais qu’une ...
    ... adresse, un sex-shop avec une arrière-salle ou tu peux te donner en spectacle, il ouvre vers quatorze heures, nous avons le temps. Je connais très bien le patron depuis presque deux ans, j’y suis allé pour la première fois le lendemain de mes dix-huit ans, il avait exigé de voir ma carte d’identité. Depuis, j’y vais régulièrement, Sylvie, sa vendeuse, m’a filmé plusieurs fois, mais c’est exclusivement pour nous. Il garde une copie après que j’ai visionné le film et gardé l’original. Elle en fait aussi une copie pour elle. Il est déjà onze heures, nous décidons d’aller nous promener un peu dans les rues du quartier. Je m’habille, Julie enfile une jupe moulante et un corsage. Le vent gonfle toujours mon débardeur, et a tendance à ouvrir le corsage de Julie, mais ça nous plaît. Nos jupes moulantes remontent un peu à chaque pas, nous attendons qu’elles soient à mi-fesses pour les redescendre. Mais, comme toujours avec une jupe moulante, l’excitation est moins forte, nous décidons de rentrer. Comme d’habitude, nos fringues volent sur le sol dès notre arrivée. Nous nous installons sur le divan, mais je constate qu’il n’y a personne en face. — Les chambres de l’hôtel sont vides. — C’est souvent le cas le dimanche, il y aura beaucoup plus de monde ce soir et pendant la semaine, c’est un hôtel très fréquenté par les commerciaux, il a un excellent rapport qualité-prix. Il n’y a que très peu de touristes. — Dommages. Julie m’allonge sur le divan et vient se coucher sur moi têtes bêches. ...