1. Le dernier jour


    Datte: 15/09/2018, Catégories: ffh, Oral 69, hdanus, hgode,

    ... Signe qu’elle se lâche plus en plus, son langage change, passant de « Oh que c’est bon de te sodomiser » à « Puutain, j’encule mon mec, prends salaud, tu bandes de te faire enculer, je te bourre, c’est booon ! » Je sens la jouissance monter, cela vient du plus profond de moi, je donne des coups de reins, je perds le contrôle, je ne sais plus ce qui arrive, je sens mon foutre bouillonner, j’entends Aline gémir sans cesser d’aspirer, sens vaguement un mouvement, car elle se branle la coquine et soudain, je crie, je me sens volcan et puis c’est une explosion de plaisir énorme. J’ai l’impression de flotter, j’ai pris un pied terrible à me donner à ma femme qui m’a fait jouir, m’a regardé jouir dans la bouche de notre complice. Je ne sens presque pas la sortie du gode encore pris dans un tourbillon de plaisir, je sens vaguement une autre bouche se poser sur ma queue et j’entends des bruits qui clairement m’indiquent qu’elles se roulent une pelle avec ma semence. Quand je récupère un peu et que j’arrive à me redresser, elles sont encore occupées à s’embrasser à grands coups de langue humide. Je regarde cela d’un peu loin, comme distancié, c’est excitant, mais physiquement, il faut que je récupère un peu ! Le temps suspend son vol, j’ai dû avoir une petite absence et, quand je reprends pied, je me sens plus vaillant. Mes deux délurées sont allongées l’une contre l’autre dans un demi-sommeil, comme enchevêtrées et la lumière allumée compose un savant jeu d’ombres qui dessine, ...
    ... souligne leurs corps si beaux. Je les contemple, ravi et une partie de moi reprend du poil de la bête. Aline, sans doute mue par un sixième sens (ou moins fatiguée, mais c’est moins romantique !) ouvre les yeux et me regarde. Nous partageons notre amour, notre tendresse durant un long instant de regards échangés dans lesquels notre complicité se raffermit encore et encore. Elle bascule Élodie sur le ventre, ses fesses surélevées par l’oreiller et m’invite à me rapprocher. Nous nous embrassons au-dessus du petit fessier tentateur et le parcourons de nos langues en de doux baisers. Une espèce de ronronnement émane de notre amie qui doit être dans un demi-sommeil (ou alors elle fait très bien semblant !) Je me rapproche de ma femme et accroupi derrière Élodie tend ma queue vers sa bouche, elle la happe, me procurant rapidement la dureté souhaitée, puis obéissant à mes gestes, écarte les deux globes charnus des fesses d’Élodie, me dévoilant son petit anneau brun, crache sur le petit trou et me lance un regard vicieux. J’avance ma queue, elle positionne le gland et, bien lubrifié, je pousse doucement ma verge dans le doux fourreau. Élodie a un soubresaut, mais ne résiste absolument pas, se contentant juste d’un « Oooh », puis d’un « Faites de moi ce que vous voulez » qui nous échauffe les sangs. Ayant franchi avec succès l’anneau culier, je pousse encore et encore sans à-coups et finalement me retrouve enfoncé jusqu’à la garde dans son petit fessier. Aline m’a saisi les fesses et tire ...