COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (4/14)
Datte: 16/09/2018,
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Dans la zone rouge,
Je suis devenue folle, comment ai-je pu accepter que cette jolie fille noire que j’ai fait venir chez moi pour une simple douche un soir d’orage bouleverse mon couple au point de parler au téléphone à mon mari parti aux États-Unis pour quinze jours et de lui raconter que nous nous sommes gouinées. J’apprends par sa bouche qu’il est content de savoir que je me fais lécher et qu’il aimera nous voir faire l’amour comme il aimerait aussi me voir me faire prendre par d’autres hommes. • Juliette, tu m’as fait peur, tu as tourné de l’œil. J’ouvre les yeux, mon corps est douloureux alors que je suis détaché des jambes mais pas des poignets. Je regarde ma chatte en soulevant ma tête, sa main a disparu et le vagin assez souple est de nouveau refermé évitant que je sois difforme. J’ai l’impression que l’on m’a fait passer dans une lessiveuse, mais son bras autour de mon cou et sa bouche qui vient sur la mienne m’apporte une certaine quiétude, la boule, elle est aussi disparue me fait oublier les moments où mon corps souffrait par sa volonté et qu’au fond de moi je suis certaine d’aimer souffrir encore. Le lendemain mercredi elle vient vers moi me détache et me demande d’aller aux toilettes, il était temps, car je commençais à serrer les fesses pour éviter de mouiller le matelas entraînant certainement une nouvelle punition. C’est la porte ouverte qu’elle me regarde uriner semblant aimer tout ce qui sort de moi. Une fois terminée elle me replace sur mon lit que je sais être devenue ...
... ma chambre de souffrance. Je la vois quitter la pièce descendre et revenir avec mon propre sac à main. • Je prends les clefs de ta voiture, je vais faire des courses, il faut que je te trouve des vêtements plus bandants que ceux que j’ai trouvés dans ta penderie, cet après-midi, nous allons aller voir mon cousin dans Paris. Elle sort ma Gold. • Donne-moi ton numéro pour que tu payes ! Voyant mon peu d’empressement à lui donner, elle m’empoigne une jambe et sans tendresse, elle me la tire au-dessus de ma tête, prenant la menotte, elle me l’attache. • C’est bon, libère-moi, 1105. • Tu as été méchante aussi, tu es puni, tu attendras que je revienne pour que je te détache, prends ton mal en patience. Repose-toi bien ! Je la vois partir médusé, ou vais-je m’arrêter, voilà que je lui donne la clef de mon coffre-fort personnelle, car ma paye est rarement utile à notre couple vu les revenus de Claude versés sur notre compte commun cet argent est prévu pour revenir à nos enfants ou en cas de problème grave. La jambe qu’elle a attachée alors que l’autre est baissé est difficile à supporter mais que puis-je y faire, il fallait que j’évite de l’énerver. J’ai dû m’endormir, car je sens que l’on me détache, ma jambe tombe sans que je puisse la retenir. Elle me libère ainsi que mes mains, j’essaye de me lever pour retourner aux toilettes. J’ai présumé de mes forces surtout de la jambe droite et je m’affale dans ses bras. • Bien chérie, j’aime quand tu me tombes dans les bras, je vais te ...