1. Lydie, Delphine et moi


    Datte: 16/09/2018, Catégories: ffh, frousses, couple, couplus, copains, vacances, amour, volupté, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, init, humour,

    ... quelque chose ? » Sa question n’appelle qu’une réponse. Pendant que je soulève Delphine afin de lui passer un peu d’eau sur le visage, Lydie s’empare du pommeau de douche pour rincer les dégâts. Delphine, à moitié comateuse, a du vomi sur sa chemise de nuit et, pire, dedans. Je ne sais pas comment elle a réussi ce tour de force mais elle l’a fait. Quand je le signale à Lydie, celle-ci me répond directement : — Ben, retire-lui son truc et aide-moi à la faire passer sous la douche.— T’es sûre ?— Ben oui, on ne va pas la laisser comme ça.— Non, t’as raison… Je la déshabille alors.— Ben oui, Alex, magne-toi. On va pas y passer la nuit ! Pendant ce temps je vais chercher un pyjama à moi. Par acquis de conscience, je demande à Delphine si elle est d’accord. De toute son inconscience, elle bredouille un truc incompréhensible que je prends pour un accord. Aussitôt dit, aussitôt fait. Bonté divine ! La petite bande de poils noirs au bas de son ventre est incapable de me divertir de sa poitrine. Je n’ai jamais vu des seins qui donnait une telle impression de masse. Pourtant, ma première copine était super bien équipée de ce côté-là. Ils sont gros, larges et semblent très fermes. Ils semblent fermes ou ils sont fermes ? Il faut que j’en ai le cœur net. N’entendant toujours pas Lydie revenir, et sous prétexte de l’aider à monter dans la baignoire, je laisse une de mes mains empoigner un de ses seins. Whaou ! Putain ! C’est à peine croyable ! Bon, allez, encore un peu : je la pelote ...
    ... carrément maintenant et elle ne dit rien. Comme c’est doux et moelleux ! Je veux les mêmes pour noël. Quand j’entends les pas de Lydie, je lâche à regrets mes nouveaux petits amis pour une attitude plus décente. Delphine dort maintenant, une bassine à côté du lit. Elle émet des petits ronflements qui nous rassurent totalement : le malaise est passé et il n’y a plus que le sommeil qui pourra la requinquer. Lydie m’a tiré par la main vers notre chambre et, à peine la porte fermée, elle se jette sur moi comme une furie. En quelques secondes, mon bermuda, ma chemisette et mon caleçon ne sont plus que de vieux souvenirs, tout comme ses vêtements. Elle me pousse sur le lit et plonge directement la bouche la première sur mon sexe. Aaahhh ! Vas-y, suce ma puce. Ce n’est pas vraiment la fellation langoureuse à laquelle je pouvais m’attendre. Non, c’est passionné, enfiévré et fugace : elle me chevauche rapidement, tellement trempée qu’elle n’a aucun mal à se laisser descendre sur ma queue. — Oh ouiii ! Ca fait du bien, dit-elle dans un souffle.— T’avais envie ? je demande (question très pertinente vues les circonstances)— Ouiii !… Ça m’a excitée, c’est pas croyable.— Ça t’a excitée ?— Oh ouiii, de la voir nue, je ne sais pas pourquoi mais ça m’a vraiment fait monter le sang à la tête. Elle est canon, non ? Là, tout homme un peu évolué sentirait le piège à plein nez : si je réponds oui, elle risque de me faire une scène ; et si je réponds non, elle me traitera de menteur. — Oui ma chérie, ...
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