Ludmilla, salope énigmatique du lycée (5)
Datte: 17/09/2018,
Catégories:
Hétéro
... pouvais entendre défiler depuis ma chambre, juxtaposée à celle de ma sœur. Ses gémissements me réveillaient parfois en pleine nuit. Cela me dérangeait la plupart du temps, excepté une fois ou j’avais pu entendre d’autres gémissements féminins s’accordant à ceux de ma sœur. Je m’étais levé et avait pu assister au spectacle depuis l’entrebâillement de la porte de sa chambre. C’était une autre fille du lycée à ses côtés. Je n’étais qu’au collège à l’époque, mais la vue d’Alice, le cul tendu vers moi et le nez plongé dans le sexe de son intime amie m’avait tout émoustillé. Je m’étais certes senti mal de bander ainsi devant le spectacle de ma sœur totalement nue, mais il fallait avouer qu’elle était douée dans ce qu’elle faisait, et les couinements de son amie qui lui offrait sa chatte n’était pas non plus étrangers au multiples jets qui avait trempé mon pyjama ce soir là. Trêve de bavardage. Après ce petit-déjeuner, je regagnais ma chambre, ma queue encore dure. J’enlevais alors mon jogging et pris mon téléphone afin de vérifier mes messages. Après un rapide coup d’œil, je vis que j’avais reçu deux messages. L’un d’Alex, et l’autre de Ludmilla. Comme par hasard. M’apprêtant à enfiler mon boxer avant de lire ces deux messages, je me rendis compte que, nu à ma fenêtre, j’apercevais ma voisine de l’autre côté de la rue, également dans le plus simple appareil. Et celle-ci me regardait en souriant, ou plutôt regardait mon pénis. Ma voisine était une vraie cougar, une femme d’une ...
... quarantaine d’années que j’avais eu l’occasion d’observer à quelques reprises depuis qu’elle avait aménagé là-bas quelques années auparavant. Jusqu’ici, je n’avais eu l’occasion d’admirer ses formes qu’en sous-vêtements, de loin, et celles ci ne semblaient encore jamais avoir remarqué ma présence. Mais ce jour là, elle se trouvait là, nue depuis sa fenêtre, ses deux tétons roses pointés dans ma direction ornant ses gros seins qui me semblaient encore bien fermes malgré leur âge avancé. Son sexe était totalement épilé, ce qui me parut étonnant pour une femme de cet âge, sexe qu’elle commença à caresser, dévorant toujours du regard mes quelques abdos visibles et ma verge désormais plus dure que jamais. A mon tour, je pris mon sexe de ma main gauche et me masturbait, bouche bée devant ma salope de voisine qui se touchait quelques mètres plus loin. Après quelques secondes, ma voisine semblait mouillé de plus en plus, à en juger par la coulée de mouille qui était apparue contre sa vitre. Cette salope appréciait le spectacle. Une forme sombre apparue tout à coup derrière elle, avant de se faire plus distincte. Un homme d’une cinquantaine d’années apparue derrière elle, nu également,. Sans doute son mari. Il se plaça derrière elle, sans m’apercevoir et sans se douter de ce que sa femme faisait initialement. Insérant son pénis dans sa vulve trempée, il lui arracha un cri que j’entendis depuis l’autre bout de la rue. C’était déjà la deuxième fois en quelques mois qu’un tel spectacle ...