1. Une princesse récalcitrante


    Datte: 20/06/2017, Catégories: fh, ff, fépilée, amour, volupté, BDSM / Fétichisme rasage, Oral pénétratio, init, ecriv_f,

    ... pendant vingt secondes, ce qui lui parut durer une éternité. Elle en ressorti essoufflée et, en effet, ravigorée, mais surtout frissonnante. Elle fut ensuite enroulée dans un grand linge blanc et on l’emmena dans une autre pièce. Là, ses cheveux furent séchés et coiffés, et on lui appliqua un maquillage léger : Juste un peu de rose sur les pommettes et du rouge sur les lèvres, en couche très fine, ainsi que de la poudre sur les cils, faisant paraître ses yeux encore plus envoûtants, le tout ne la faisant pas paraître réellement maquillée. On lui fit passer une robe en soie bleue, avec un corsage très serré et décolleté, des bas et des culottes blanches, ainsi que des escarpins vernis. On lui passa aussi un manteau, afin de traverser les couloirs qui étaient froids en cette saison. Elle avait alors plus ou moins oublié pourquoi on l’avait chouchoutée comme cela durant de longues heures. Il faisait déjà nuit lorsqu’elle fut conduite jusqu’à la chambre du prince Kirahd. La servante lui enleva son manteau et la fit entrer. Le prince était assis sur un fauteuil, l’air anxieux. Lorsqu’il la vit, sa bouche s’entrouvrit, signe de surprise. Il ne s’attendait peut-être pas à la voir vêtue ainsi, car son regard s’arrêta un moment sur son décolleté. Il se leva et vint la prendre par la main. Elle était fermement décidée à faire tout ce qui était en son pouvoir pour empêcher ce grossier prince de la toucher, elle retira donc sa main de la sienne. — Tu voudrais manger quelque chose ? lui ...
    ... proposa-t-il.— Oui, répondit-elle sèchement. «Autant manger, se dit-elle, cela retardera plus le moment de passer à l’action». Il lui présenta une coupe remplie de fruits juteux. Elle se servit et entreprit d’en manger la totalité, mais Kirahd l’interrompit tout d’un coup et, la saisissant fermement par les bras, l’emmena sur son lit. Elle eut un petit cri et tenta de se débattre, mais il la tenait trop fermement, sans pourtant lui faire mal. Il était couché sur elle, mais ne l’écrasait pas. Il l’embrassa dans le cou, faisant glisser ses lèvres sur sa peau, la mordillant parfois, tout en douceur. Elle finit par se détendre. «Tant que ça ne va pas plus loin, se dit-elle, je peux bien le laisser faire». Puis, la tenant toujours entre ses bras, il laissa ses lèvres glisser un peu plus bas, effleurant le haut de ses seins. Elle tressaillit, mais continua de se laisser faire. Ce petit manège dura un long moment, jusqu’à ce qu’elle arrête complètement d’essayer de se dégager. Alors il la lâcha et posa ses lèvres sur les siennes, l’embrassant tendrement. Elle était envoûtée par ses lèvres, sa langue qui caressait doucement la sienne, si bien qu’elle ne remarqua pas les mains qui étaient en train de délacer son corsage avant que l’ouvrage fut finit. Il passa une main sur ses seins, pas encore dégagés. Il était arrivé, elle ne savait pas trop pourquoi ni comment, car elle était dans un état où elle ne comprenait plus grand chose, à faire qu’elle ne lui résiste plus le moins du monde. ...
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