Vicieux et fier de l'être (3)
Datte: 18/09/2018,
Catégories:
Divers,
... si a veut pas bosser un peu, tu largues la feignasse. Elle aimait ça, gémissait et ses bras enserraient mes reins. Alors, j’ai accéléré le rythme car elle en pouvait plus et elle a roulé la tête sur l’oreiller, les yeux révulsés. Dès qu’elle a récupéré, j’l’ai fait mettre à quatre pattes. « On y va ? On l’encule? » Elle s’est retournée pour me regarder: « Oui, oui, je veux bien essayer ! » « Oui qui ? » « Oui, monsieur ! » Ses doigts ont griffé les draps. J’ai profité de son état pour lui pénétrer l’anneau d’un, deux et enfin trois doigts, sans difficulté, des doigts bien mouillés de salive et d’un peu de gel (j’avais mis le pot sous l’oreiller) et a s’est laissé faire, totalement, je l’ai bien senti. Ma bite est entrée lentement et elle a soupiré en disant : « C’est trop bon monsieur, continuez! » « T’inquiètes, quand Gégé est parti comme ça on l’arrête pas ! » J’ai senti son anneau s’ouvrir, se dilater pour avaler le morceau et se refermer dessus tout de suite. Putain, son p’tit cul est serré, tout neuf ! Lentement, puis de plus en plus fermement, je l’ai tirée comme ça et j’ai senti qu’elle allait bientôt jouir par le cul. J’oublierai jamais comment ça l’a s’coué. Putain, ça l’a vraiment s’coué et quand, elle est rev’nue sur le dos, qu’elle a pu ouvrir les yeux, elle était toujours loin, très loin. Elle a pris un pied d’enfer ! Bon, c’est pas tout, mais elle s’est mise à genoux sur le lit, pour sucer ma queue. Chacun son tour ! J’lui ai expliqué comment a doit s’y ...
... prendre, comment y faut lécher des couilles, et moi, c’est dans sa bouche que j’ai lâché la purée. Elle a avalé tout ce qu’elle a pu mais a l’a quand même du foncer à la salle d’eau. « Avec moi, elle a dit, « elle a pris du plaisir comme elle avait rêvée pouvoir le faire un jour et aimé cela. » traduction : « j’ai bien pris mon pied, mon Gégé ! » Elle est venue poser sa tête sur ma poitrine et a s’est endormie pour se réveiller une demi-heure après. J’ai pas voulu la bousculer. Il était déjà 17h30 ou plus, j’sais pas quand elle a rel’vé sa tête. J’ai caressé ses cheveux. « Monsieur, je pourrais vous revoir ? » Comme j’avais encore envie d‘elle, j’ai répondu : « Chez toi, vendredi soir, 20h ; je travaille pas samedi matin mais à 11h, je décale ! » Elle m’a embrassé. Elle était folle de joie. Elle ne s’y attendait pas, m’a-t-elle dit en m’embrassant encore. « Monsieur ? » « Ouais ? Ya quoi encore ? » « J’ai réfléchi… » Elle était gênée, les joues bien rouges. « Voilà, si cela tient toujours, je veux bien essayer avec le concierge, pour vous faire plaisir ! » Je l’ai regardée en me marrant un coup : « T’es sûre que c’est pour ME faire plaisir ou pour TE faire plaisir ? » Elle était carrément écarlate. « En fait, les deux, monsieur, c’est vrai ! » « Alors vas-y, va faire une pipe Momo en r’partant. Tu m’raconteras. » Elle s’est levée et habillée dans la salle de bain. Elle est venue m’embrasser et m’a remis un morceau de papier sur lequel elle avait indiqué son n° de tél et son adresse. ...