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Séduction délicate de la soeur de ma mère (15)
Datte: 18/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... glisser sa main. Toujours posé, Ken se contentait d’effleurer les lèvres de son intimité toute propre. — Vous sentez enfin tu sens bon Véronique. Tout en multipliant les passages le long de sa fente. — Oui c’est la douche sans doute… Dit-elle en s’agrippant au gosse pour relever son bassin et lui faciliter la tâche. — Tu es une très belle femme et ton neveu en a de la chance. En dirigeant ses doigts à l’entrée de sa fente. — Oui certainement… Dit-elle totalement ailleurs en lui glissant un baiser dans le cou tout en ayant un souffle court. — Je peux m’introduire dans ton sexe ? En lui suçotant son téton vaincu. — Tu peux mon enfant. En jouant le rôle de sa mère défunte tout en dissimulant sa réjouissance à l’idée de se faire doigter. Après de petites hésitations dans le but de courtiser sa source, Ken introduisait pour la première fois son doigt dans la sueur de sa chatte. Véronique apposait sa joue contre la sienne et ondulait son bassin, confirmant le bien-être qu’elle percevait. J’avais durant notre entretien donné quelques astuces au gosse pour qu’il ne soit pas désemparé dans pareille situation et une fois de plus il œuvrait avec un art certain en restant à l’écoute de sa partenaire divine. Le petit japonais après quelques errements imprimait un lent doigté le long de ses parois vaginales, en s’attardant pour exercer des petites pressions sur les zones les plus sensibles. Véro haletait tandis que Ken revenait à la charge en déplaçant son visage pour se retrouver face à ...
... celui de Véronique. Ce petit malin la doigtait si admirablement que le regard expressif de ma tante en disait long du plaisir qu’elle ressentait. Elle entrouvrit la première sa bouche et se pencha vers le gosse. — Tu aimerais m’embrasser… Peina-t-elle à le lui dire tant il la stimulait si parfaitement. — Oui. Il la tenait, il avait trouvé la faille dans son vagin et s’attardait à cet endroit précis en tapotant puis en tournoyant..comme je lui avais expliqué. Ma tante devenait sa femelle soumise à ses désirs et il n’eut plus qu’à approcher ses lèvres pour s’apercevoir à quel point elle était sous son emprise. Ken accolait ses lèvres à celles de Véro qui loin de se dérober lui laissa les effleurer sensuellement. — Tu sais en principe il me faut beaucoup de temps avant d’embrasser un homme. Dit-elle comme pour s’excuser de la suite. — Je ne suis pas un homme, je suis pour l’instant ton enfant qui fait du bien à sa maman. En affabulant quelque peu. — Oui si tu veux Ken… En ouvrant cette fois la bouche pour accueillir la langue du petit japonais. Ce fut un baiser timoré, vacillant et craintif. Le pauvre gamin n’avait jamais roulé de pelle de sa vie. Ma tante se montra compréhensive en ne faisant aucun commentaire mais elle était diablement excitée et restait donc sur sa faim. — Attends, je serai mieux en face de toi. Dit-elle en se levant toute bouillonnante pour venir le chevaucher. — Tu voudrais bien refaire l’amour avec moi ? Demanda-t-il niaisement en ouvrant son peignoir avec ...