LE MARIN. La Parisienne en vacances. (12)
Datte: 18/09/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... assassin pour toute la soirée, je vais aller dès demain porter plainte contre lui à la ligue de protection des homards. • Quand tu en auras mangé un bout après que je les ai découpés, tu feras une grosse bise à celui qui prend des risques pour que nous nous régalions. • C’est comme moi lorsque je sors un gros moteur des voitures américaines que je répare, je prends des risques pour mes doigts. J’ai envie de lui dire, ferme ta gueule, mais comme mes parents mon donné de l’éducation, je me contente de lui resservir un verre et de caresser plus fortement sa femme. Louise et Gaëlle partent en cuisine découper les homards que Didier a récupérés sur la table. • Je vais vous aider, j’avais un grand-père qui était écaillé. La famille qu’est-ce que c’est intéressant lorsque cela permet un rapprochement dans une cuisine car connaissant maintenant la rapidité du petit mousse, je suis sûr qu’il va en profiter pour se rapprocher des deux belles que je le sais maintenant ont été mariés leurs maris ayant disparu trop vite avant de devenir des lécheuses de chattes. • Et si l’on chantait ! C’est d’une voie de plus en plus incertaine que j’arrive à assommer Benoît. Je sais que le procédé est immoral puis que j’ai pour but de sauter son épouse, mais ce qu’elle m’a dit tout à l’heure et la sucette faite dans son dos me montre que si je laisse la place inoccupée le vide demandant toujours d’être rempli et c’est un autre qui lui remplira sa chatte. De plus, je suis moi-même délaissé par ma ...
... belle Véro semblant avoir pardonné au tueur de homards car elle lui prends la bouche à la limite de l’attentat à la pudeur. C’est le moment que choisit Benoît pour plonger son nez dans son assiette. Je me lève, remets ma chaussure et je vais à la cuisine. Là encore, les homards semblent attendre, car Didier est appuyé au piano de cuisine la queue dans la bouche de Louise et la langue de Gaëlle au même endroit que celle de Véronique avec Roger. Une différence, c’est que son chemisier est ouvert et que le mousse lui pelote les seins qui semblent apprécier tellement ses tétons en forme de poire sont tendus. • Excuse-moi Louise, tu finiras ton repas tout à l’heure, on a besoin de toi, il va falloir trouver un lit à notre mécanicien d’opérette. • Ces gens du Sud, tous des demi-portions comparées à nos hommes qui sont burinés par la mer. Viens, on va le monter à l’étage. Avec Roger, pardon Roger l’empoigne comme un vulgaire sac à patates et le fait monter à l’étage. • Mets-le dans la chambre du fond, le matelas à l’habitude d’en voir passer régulièrement et je le nettoie au jet d’eau dehors lorsqu’il en a besoin. Je ferme la porte à clef que ce grand couillon si l’idée lui vient de redescendre se ramasse dans les escaliers, cela m’est arrivé une fois avec le pépé qui travaille sur le chalutier de Roger, son nez s’en souvient depuis, il est de travers. Je viendrai le voir régulièrement. En redescendant je profite de la place que j’ai libéré pour venir à côté de celle que je convoite ...