1. La naufragée de la route (3)


    Datte: 31/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mes talents de suceuse... mais là... je ne pourrai dire si je pourrai mettre sa longue tige entièrement entre mes lèvres... Alors tout doucement, encore un peu tremblante, j’approche ma langue sur cette longue tige et je viens la lécher de bas en haut jusqu’à venir effleurer son énorme gland gorgé. Je sens sa tige gonfler doucement sous ma langue et je me décide à engloutir de mes lèvres ce gland... Hummm... son goût est vraiment différent des autres hommes que j’ai pu sucer... un mélange de musc et de salé ! Un goût étonnamment agréable ! Alors je me mets à le sucer et à l’aspirer de plus en plus vite en jouant avec ma langue sur son frein... et je m’aperçois qu’il apprécie car son sexe grossit... grossit... Je m’arrête quelques secondes et admire ce sexe en érection maximum ! Je lève les yeux vers mon maître... mais ce que je vois me fait peur ! Il me fixe d’un regard perçant et menaçant ! GERMAIN La main d’Elyne tremble, mais elle n’hésite pas à approcher sa langue de ma queue. Elle commence à la lécher doucement, sur toute sa longueur, à faire des allers et retours avec sa langue, douce et un peu râpeuse, comme celle d’une petite chatte. Elle s’y prend bien, et je commence à bander vraiment. Elle ne paraît pas effrayée par la taille de mon sexe... Un bon point pour elle ! Car la nature m’a fait cadeau d’un engin aux dimensions très supérieures à la moyenne ! Au contraire, Elyne fait courir maintenant la pointe de sa langue tout autour de mon gland, qui gonfle un peu ...
    ... plus. Sans doute est-ce le résultat des coups de cravache - elle le prend dans sa bouche. Elle l’aspire... Elle suce divinement bien, cette petite salope ! Je suis certain que ça lui vaudra un grand succès, dans mes soirées... Ses lèvres sont distendues par mon gland, qui déforme ses joues, et frappe au fond de sa gorge. Sa main continue ses va-et-vient le long de ma hampe et mon phallus a atteint le maximum de son érection. Elle étouffe, elle hoquette, et elle doit reprendre son souffle. Elle se recule un peu, jette un regard affolé vers ma queue, et lève les yeux vers moi. — Eh bien, qu’y a-t-il, Elyne ? — Oh Germain... — Appelle-moi Maître, dorénavant ! dis-je en la fixant sévèrement. — Maître... Je n’ai jamais été prise par un sexe de cette taille ! — Il faudra t’y faire ! Dès maintenant ! — Non ! Je ne pourrai pas ! — Tu refuses ? Tu sais que je vais te punir ? Je saisis Elyne par les cheveux, et je la fais se relever. Je tourne une des pinces qui enserrent les pointes de ses seins, et elle pousse un cri aigu. Toujours en la tenant par les cheveux, je la conduis jusqu’à une longue table de bois, sur laquelle je la fais s’allonger. — Replie tes jambes, et ouvre-les. Montre-moi ta chatte. Elyne, tétanisée, obéit, et pose ses pieds sur le bord de la table. J’ai une vue en gros plan sur son petit coquillage, d’un rose nacré, sur les bords duquel perlent quelques gouttes de cyprine. — Mais tu mouilles, ma parole. Tu aimes t’exhiber, n’est-ce pas ? — Oui, Maître, répond Elyne, qui ...