1. Au cinéma


    Datte: 18/09/2018, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe

    ... semblait s'être aperçu, de mon émoi car il avait avancé son bassin et sa queue s’était dirigée vers moi. Je devinais qu’il allait se passer quelque chose, je l’espérais même. Soudain, il me dit :— Branle-moi salope!J'ai alors tourné mon visage vers Alain d'un air interrogatif.« Tu crois que je peux le toucher ? »En me poussant vers l'avant, il dit :— Prends-la en main, ma chérie !Bon sang, qu’est-ce qui m’arrivait ? J'ai tendu la main vers la tige de chair tendue. Mon coeur s’est mis à battre très fort quand mes doigts se sont repliés dessus. j'ai étreint la grosse queue, d’abord avec hésitation. Le type a grogné de contentement.— Oh oui, c’est bien, vas-y ! Super, ma chérie, branle-la bien !— Qu’elle est grosse et dure Alain!Je m'activais maintenant avec plus de vigueur. Mes deux mains, couraient sur l’incroyable colonne de chair. Ma respiration était devenue haletante, mon regard était rivé sur le magnifique pieu et mes lèvres, entrouvertes, témoignaient de l’envie qu’e j'avais de le prendre dans ma bouche devant mon homme qui s'était mis à se branler.— Oui, vas-y putain ! Ah ! C’est trop bon ! T'es un vrai salope toi ! Vas-y !Excitée par leurs encouragements, j'astiquais l’énorme bite, allant prestement des couilles velues au gland gorgé de sang. Agenouillée maintenant, le visage à la hauteur du gros chibre, la bouche béante, comme prête à l’avaler, je me déchaînais comme une hystérique sur l’objet de son excitation. D’un coup de rein, l’homme a porté son gland sur mes ...
    ... lèvres luisantes.— Qu’elle est grosse ! Qu’elle est bonne !Régulièrement à présent, l’énorme gland venait à la rencontre de ma bouche tentée de happer la bite tendue. À un moment, j'ai tourné mon visage vers Alain et, comme si je devais lui demander l'autorisation :— Je peux la sucer ?— Oh oui ! Vas-y, ma chérie, pompe-le comme tu aime le faire !— Oui, suce-moi, salle chienne ! a renchéri le bonhomme.D’un ample mouvement du bassin en avant, il avait poussé d’un coup l’énorme bite contre mes lèvres gourmandes. Plus rien n’existait maintenant pour moi ! Sans retenue, je m'efforçais d’enfoncer le plus possible la belle queue dans ma gorge. Plus rien ne comptait pour moi que ce plaisir de sucer et d'enfoncer profondément lcette bite gonflée dans ma bouche distendue dans un bruit de succion de plus en plus sonore.Tout en se masturbant frénétiquement, mon mari m'encourageai.— Oui, ma chérie ! Régale-toi bien ! Mange-la toute ! Suce-la profond ! Lèche- lui les couilles !— Quelle pompeuse, votre salope ! renchérit le bonhomme.Il avait empoigné ses seins, maintenant, et les tripotait doucement.Alain me caressait les fesses, quand le bruit sourd de la porte des toilette se fait entendre.— Quelqu’un arrive ! Dis je en me relevant tout d’un coup, affolée.— Venez ! a dit l’homme, me prenant la main.Il nous a poussés vers les WC et a fermé la porte derrière nous. C’était de vastes toilettes, prévues pour les handicapés. Il y avait une barre d’appui le long du mur. Notre homme y a calé ses ...