1. Une journée en juin


    Datte: 19/09/2018, Catégories: fh, copains, piscine, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... léger qui laissait voir son sexe. Mais il n’y avait rien de malsain. Ensuite, j’avais participé à un repas de famille, où tout le monde portait un tee-shirt à cause du soleil, mais le sexe à l’air. Étonnant. Mais là, sa mère est étendue sur le ventre, les cuisses légèrement écartées. Je vois son sexe, ses fesses, et après ce qui vient de se passer, ce n’est pas un œil innocent qui regarde. Vite dans l’eau, ou je vais devenir indécent ! Pascaline m’y rejoint et nous commençons à jouer lorsque sa mère se lève et nous dit qu’elle va faire des courses, pendant deux heures environ. Quand je suis sûr qu’elle est partie, je dis à Pascaline : — Dis donc, tu me dois une revanche.— Au tennis ?— Non !— Alors pourquoi ?— Pour ça. Je l’attrape par les hanches et la lève pour l’asseoir sur la margelle de la piscine, face à moi, les pieds encore dans l’eau. J’écarte ses genoux, glisse ma tête entre eux, et lui embrasse les cuisses. — Tu as mangé tout à l’heure ; maintenant, c’est à moi. Il n’y a pas de raison que tu sois la seule à en profiter !— C’est vrai, tu dois mourir de faim. Viens, le buffet est ouvert. Elle ouvre grand ses cuisses et me présente son sexe, mouillé ; mais peut-être est-ce l’eau de la piscine. J’approche mon nez et sens une odeur douce, poivrée, mélangée à celle du chlore. La piscine, oui, mais pas que. Ma langue se fraie un chemin au travers des poils pour lécher ses lèvres. Son goût me plaît. J’écarte un peu ses lèvres et commence à entrer dans son antre. Son ...
    ... clitoris pointe au-dessus ; je me le garde pour tout à l’heure. J’enfonce ma langue le plus loin possible tandis qu’une de mes mains va chercher un sein. Je sens une pointe érigée, la caresse, la titille, la tord un peu. Elle geint sous mes caresses et ma langue. Je prends enfin son clitoris entre des lèvres, le suce, fais glisser mes dents dessus. Mon menton est trempé, ses cuisses se resserrent. Elle s’allonge sur le dos, gémit de plus belle. Je sens son orgasme qui arrive, puis éclate. Une de ses mains est sur son sein libre, l’autre appuie sur ma tête ; ses cuisses se ferment, elle tremble, elle crie. Je suis heureux de lui donner autant de plaisir. Enfin, son corps se relâche. Je monte m’allonger à côté d’elle, lui caresse le ventre doucement. — C’était bon. Mais j’ai envie de te sentir dans mon ventre. J’ai envie de toi. Une main sur mon sexe, me branlant doucement, elle me regarde. — Dans ta chambre, alors. Viens vite. Nous nous relevons et courons à l’étage de la maison en nous tenant la main. Mais à peine sur le palier, je l’attire vers moi et l’embrasse à pleine bouche. Elle est collée à moi, nous mélangeons nos sueurs. C’est trop pour moi ; je l’appuie contre le mur. La chambre est trop loin (cinq mètres !). Je lui soulève une jambe et la pénètre d’un coup. C’est doux, chaud, humide, ouvert, offert. Elle s’accroche à mon cou, met ses deux jambes autour de ma taille et les serre pour que je m’enfonce au plus loin en elle. Je commence des va-et-vient, doucement d’abord, ...