Je vous parle d'un temps
Datte: 19/09/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... bohémiens, nous étions deux filles. L'une menait la danse et faisait l'ambiance à vouloir sucer tout un chacun. L'autre, moi, un peu revêche, en retenue, en refus de m'adonner aux plaisirs troubles du groupe, moi je voulais faire montre d'autre chose. Je voulais, moi aussi, briller. J'en étais là et ne savais plus où aller ni que faire pour capter l'attention. Je matais les bites dressées avec sur mon visage comme une réprobation. Plutôt une concentration. Qu'allais-je inventer pour prendre initiative, pour être celle qui mène, qui prend leadership. Je m'en voulais d'avoir laissé cette gamine mener la bande. Au sens propre du terme. Faire bander les garçons, c'est tout un art et je me flatte d'en connaître un rayon. Souvent, mieux vaut agir sur la pensée que par l'action. Ma jupe de tweed était plutôt longue et j'ai remonté mes pieds, l'un après l'autre sur le bord de la banquette. En mouvement tournant pour faire tomber mes ballerines au plancher. Mes pieds nus se sont crochés des talons au rebord de bois du siège, à mes fesses. La jupe couvrait mes genoux et faisait tenture par dessus mes cuisses à peine ouvertes. De mes deux mains serrant mes hanches, j'ai collé le tissu contre moi pour bien m'envelopper et vrapper mes fesses par en dessous, chastement. Les deux gars assis en face n'en perdaient pas une miette et leurs yeux restaient braqués sur le fond de ma culotte. Les autres les regardaient en émulation et participaient de leur émoi. Et tous serraient leur queue à ...
... deux mains, glands turgescents, violets, énormes. Ma main droite s'est égarée sur le blanc gousset et trois doigts ont poussé pour plisser le coton doublé loin profond. Je ne voyais rien mais j'imagine que ma touffe en a profité pour s'échapper par côtés et encadrer la blancheur virginale de la culotte de deux liserés de barbe noire frisée brillante comme cirée. Je ne voyais rien mais mes doigts confirmaient, mouillés jusqu'à la deuxième phalange, l'effet de toutes ces bites autour de moi et de l'odeur forte qu'elles dégageaient. J'ai laissé les choses en l'état et, remontant le bras, j'ai ouvert ma main de trois doigts tendus. Pour offrir dégustation. Les trois gars qui ont l'un après l'autre enfourné mon annulaire, mon majeur et mon index ont confirmé d'une poussée érectile tangible, l'intérêt qu'ils portaient à mon nectar. Consciente du côté positif de mon initiative, j'ai filé des deux mains à mes hanches sous la jupe pour tirer à mes genoux puis à mes chevilles la culotte virginale, sauf le fond largement trempé de mes émois. D'une main j'ai offert le coton à la cantonade, de l'autre j'ai rétabli la tenture de tweed gris tendue sur mes cuisses et mes genoux en toute pudeur de fille sage et discrète. Seuls peut être les deux gars de devant pouvaient apercevoir ma fente velue mais probablement trop obscure pour y discerner autre chose que deux lèvres closes sur un sombre dindon. Ma culotte faisait le tour de l'assemblée, chacun y plongeant le nez avec délice et moultes ...