La Veuve Noire
Datte: 19/09/2018,
Catégories:
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
hotel,
voyage,
chantage,
fgode,
init,
... moque. Elle sent de nouveau les démangeaisons au bout des doigts en la voyant approcher et une onde de chaleur la submerger. Nadia s’arrête à quelques centimètres d’elle. Elle reste droite, tendue, un peu cambrée aussi, ce qui met en valeur sa chute de reins vertigineuse et son buste en avant. Les vêtements ne peuvent alors dissimuler la perfection de ses courbes, et Lucrèce a l’impression d’en deviner tous les contours. Cette fille a un corps de déesse… fait pour l’amour, avec une taille élancée, des seins fermes et orgueilleux, des fesses rondes et cambrées… Tout pour attiser le désir, en totale contradiction avec son visage de femme-enfant à la fois sage et romantique. Lucrèce se demande si, au lit, elle laisse de côté son air timide pour dévoiler au contraire un tempérament fougueux. Son désir monte de plusieurs degrés. — Pour en revenir à vos choix vestimentaires, ne le prenez pas mal… C’est plutôt un compliment. Avec un corps comme le vôtre, il faut savoir le mettre en valeur… Sa voix s’est enrouée. À travers les vêtements, elle sent palpiter le corps chaud et souple de la superbe brune qui reste tétanisée. Lucrèce, très grande, la dépasse de quelques centimètres, et en tournant autour de sa secrétaire elle a l’impression d’être un prédateur se penchant sur sa proie. Un sentiment qui n’est pas pour lui déplaire. Son employée n’en paraît que plus fragile et vulnérable. Une lueur d’appréhension luit au fond de ses grands yeux, ce qui la retient de glisser une main sous ...
... son chemisier comme elle en meurt d’envie. Dommage… la poitrine agressive de sa secrétaire attire autant les regards que les caresses, et la façon dont les pointes se tendent avec orgueil sous le tissu est un appel au viol. Brûlante de fièvre, elle imagine ses doigts glisser sur la chair nue et frémissante… Sa main gauche se pose sur le ventre de sa jeune secrétaire, en une caresse à peine appuyée, tandis que l’autre se glisse dans le dos, en haut de cette chute de reins qui lui donne le vertige. Nadia se crispe, respirant un peu plus vite. Prudente, Lucrèce se fait douce et enjôleuse, la berçant d’une voix onctueuse, presque un murmure : — C’est votre fiancé qui en a de la chance. J’espère qu’il en est conscient au moins… Sa voix est de plus en plus rauque alors qu’elle se déplace derrière elle, la frôlant insidieusement. Ses deux mains sont descendues sur les hanches, comme pour mesurer la taille. Mais l’une d’entre elles, assez vite, descend plus bas, à la limite de la jupe fendue, effleurant le haut d’une cuisse ferme et racée. La respiration de Nadia s’est arrêtée. Elle ne fait rien pour la repousser mais elle se crispe davantage. Elle reprend son souffle en prenant enfin la parole. — Mon fiancé n’est pas de cet avis. Il n’est pas loin de me quitter…— Quel idiot ! Et pourquoi donc ?— Je suis frigide. Totalement frigide. Mon fiancé ne le supporte plus et je le comprends… La main de Lucrèce se retire comme si un serpent allait jaillir d’entre les jambes de sa secrétaire. Cet ...