1. Léa - Mon esclave (3)


    Datte: 20/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Une fois la fête finie, au petit matin, nous repartîmes chez moi. S’ensuivit une longue discussion entre Léa et moi, évidemment, les évènements de la nuit passée ne lui plaisaient guère. Elle était contre le fait de devoir me partager, mais avait pris beaucoup de plaisir à subir une telle humiliation. Sa première expérience homosexuelle ne jouait pas le beau rôle non plus. Après presque une heure de discussion et de négociations, elle fut encline à me céder un droit complet sur elle et son corps, à l’humilier comme je l’entends, et avec qui je le souhaite, mais en contrepartie, si elle disait stop, tout s’arrêterait immédiatement. (Oui c’était le deal initial mais je n’allais pas le lui rappeler). À croire qu’elle avait pris bien plus de plaisir que je ne l’avais imaginé. Après un anniversaire pareil, je me devais de la récompenser : je la fis s’installer sur le lit, bras et jambes écartés et attachés à chaque coin. Je pris alors son vibromasseur, et entamai de lui donner le plus d’orgasmes que son corps pouvait recevoir. Il ne fut pas long avant que cette chienne ne commence à gémir : — Oh oui Maître ! Ahhhhh ! C’est trop bon, ne vous arrêtez pas, me supplia-t-elle en se tordant et tirant sur ses liens. Je fis de mon mieux pour la satisfaire, après la frustration qu’elle avait eue la veille. Ses tétons, au sommet de ses grosses mamelles, étaient durs comme de la pierre, alors de ma main libre, je les torturais encore et encore, tirant dessus, les pinçant et les faisant ...
    ... rouler entre mes doigts. — Ahhhh ! Je vais jouir, oui, vas-y ! Hurla-t-elle Le premier orgasme fut fulgurant. Elle hurla à pleins poumons son plaisir (heureusement que personne n’était à la maison je vous le dis !). S’ensuivit une trentaine de secondes avant que ses gémissements ne reprissent. D’abord lents et faibles, puis longs et de plus en plus intenses. Son clitoris, devenu extrêmement sensible après son premier orgasme, la fit jouir une nouvelle fois quelques secondes plus tard, un orgasme si puissant qu’elle tremblait comme une feuille. Elle tirait sur ses liens, pour tenter d’arrêter ce plaisir devenu insoutenable. Son mont de Vénus, rouge écarlate et complètement trempé lui infligeait des orgasmes à répétition. Après 45 minutes de ce traitement, elle finit par tomber dans les vapes, ce qui signa l’arrêt de la séance. Elle s’endormit comme un bébé, et ne se réveilla pas avant 18h. Les cours avaient repris, et nous étions plus proches que jamais. Nous passions presque tous les week-ends ensemble, ses parents étant séparés et ses deux plus grands frères étaient déjà dans la vie active, nous faisions en sorte d’éviter le troisième (de quatre ans son aîné) qui vivait essentiellement chez sa mère. Malheureusement, l’alcool faisant des ravages, son père devenait de plus en plus irritable, ce qui nous obligeait soit à aller chez moi, soit passer le week-end dans un appartement aux murs plus fins que des feuilles de tabac. Et vous commencez à me connaître, lorsque je décide ...
«123»