Réparer une injustice (2)
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Aurélie rentra chez elle, son mari, comme d’habitude, l’accueillit en étant grossier. — C’est à cette heure-là que tu rentres ? — Désolé, je suis allé faire des courses, ça a pris du temps à la caisse. — Je parie que c’était un arabe à la caisse ! Ils sont vraiment tous incompétents, faut pas trop leur en demander. Aurélie ne répondit rien, elle l’embrassa en pensant à ce qui venait de se passer… S’il savait ! Deux jeunes arabes venaient de s’occuper d’elle sur le chemin du retour des courses. Elle passa sa langue sur son palais en pensant qu’elle venait de sucer ces deux beaux arabes et que l’un d’eux avait déversé son sperme sur sa langue : elle sentait encore le goût délicieux de cette semence qu’elle avait avalée avec délice. La remarque raciste de son mari la fit sourire intérieurement : s’il savait que pendant qu’elle suçait ce jeune maghrébin, son ami la sodomisait vigoureusement, il en serait devenu fou ! Elle sentait son anus encore un peu douloureux après à cette pénétration mais le fait de sentir encore un peu de sperme qui s’en écoulait en mouillant sa petite culotte l’excita énormément. Elle finit par lui répondre : — Oui, tu as raison, il ne faut pas trop leur en demander. S’il savait. Elle passa le reste de la semaine comme toutes les autres semaines : travail de merde, mari de merde mais cette fois, elle avait un souvenir qui lui rendait le sourire… Cette rencontre. Le fait de s’être donnée, de s’être abandonnée à ces deux maghrébins avait été une expérience ...
... très forte et tellement jouissive. Aurélie se demandait même si cela avait été réel ou si ce n’était qu’un fantasme. Mais elle sourit en se rappelant que c’était bien réel : l’un d’eux, Karim, lui avait laissé son numéro de téléphone sur un morceau de papier…. Elle essayait de mettre ce souvenir de côté car cela la perturbait, elle y pensait tout le temps, son travail commençait à s’en ressentir. Elle perdait le fil pendant les réunions de travail : elle repensait à ces deux grosses verges qu’elle avait sucées, au sperme dont elle s’était délecté, et surtout, à cette sodomie qui l’avait rendue folle de plaisir… Elle tentait d’oublier tout cela pour ne pas être tentée de recommencer mais elle se rendit compte que c’était trop tentant, elle avait envie de les revoir… C’était décidé, il fallait qu’elle les contacte. En rentrant du boulot, elle s’arrêta sur un parking et appela Karim. — Allo ? — Oui, bonsoir, c’est moi, vous vous rappelez ? Le champ de maïs avec votre ami ? — Oh, bien sûr que je me rappelle, on n’arrête pas de penser à vous. — C’est gentil ça ! Vous avez un moment de libre cette semaine ? — Quand vous voulez ! — On peut se retrouver où ? Chez vous ? — Ah non, pas chez moi, c’est trop risqué avec mon mari. Chez vous ? — Ok. Mais je ne suis pas sûr que cela vous plaise. Je ne sais pas si vous mettez souvent les pieds dans une cité… Aurélie marqua une pause quelques instants puis reprit : — En effet, je n’y vais pas souvent mais je suis dans une phase où je découvre ...