L'ascenseur
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
fépilée,
ascenseur,
ffontaine,
Oral
fdanus,
... glisser sous mon pull et parcourir ma peau, la peau si fine de mes seins. On entre tous les deux l’antre vide et j’appelle l’étage qui va nous emmener chez moi… le septième. Je délaisse son épaule pour prendre appui sur la rambarde de l’ascenseur. Conquérant, le sourire conquérant, le mot était plutôt bien choisi : il prend déjà possession de mes terres, sa main a glissé de ma hanche vers mon cul qu’il découvre et masse fermement. Vous êtes belle ! Sexy, même ! Désirable ! Tiens j’aurais juré que tu me trouvais… bandante. J’esquive en posant ma tête sur son épaule, la douleur de ma cheville commence à être lancinante. J’ai hâte de m’asseoir et, en même temps, sa main sur mon fessier me projette dans des espoirs de volupté et de plaisir. J’ai des bouffées de chaleur. Je fouille mon sac à la recherche de mes clés et je lui ouvre un peu de moi, de mon univers. Je me laisse tomber dans mon canapé en grimaçant un peu. Il s’agenouille devant moi et commence à masser ma cheville, je ferme un peu les yeux. Je sens ses mains chaudes autour de ma cheville. Hmmmm, s’il me masse partout comme ça, je vais fondre ! Ses mains glissent sur ma malléole, mon talon, mon cou de pied, c’est vraiment bon. L’une de ses mains cherche à remonter un peu dans la patte de mon jean’s sans succès… trop serré. — Il faudrait que vous enleviez votre jean’s pour que je puisse bien vous masser… Je rouvre les yeux, et le regarde droit. — Vous croyez ? Sans lâcher son regard, j’écarte doucement les jambes pour ...
... l’inviter. À genoux, il se glisse jusqu’à moi et pose son visage entre mes seins, mon sexe palpite contre son ventre. Ses mains remontent sur mon pull et s’approprient mes seins tendus. Il semble s’enivrer de mon odeur et je fais de même, tandis que mes doigts hérissent ses cheveux. Ça sent bon un homme épris de désir. Je ne sais si ce sont les phéromones, mais j’adore ça. Je bascule ma tête en arrière sur le canapé, je m’abandonne à la sensualité de ses caresses sur ma poitrine. Je sors de ma rêverie, attrape son visage entre mes mains, l’approche de mes lèvres et reste suspendue à quelques centimètres de sa bouche. Son souffle chaud pénètre ma bouche qui s’entrouvre : — Il y a une poche de glace dans le congél’. Cette fois, c’est moi qui lui souris, conquérante. Ses yeux et ses mains coulent sur mes seins, mon ventre et mes hanches sur lesquelles il prend appui pour se relever. Il a l’air fort à l’étroit dans son jean’s. Je mate un peu son postérieur, tandis qu’il se dirige vers la cuisine. Je ferme les yeux et l’écoute fouiller dans la cuisine. Le silence soudain m’interpelle. Je rouvre les yeux. Il est debout face à moi, un torchon plein de glaçons à la main. Il me dévore littéralement, faut dire que j’ai retiré mon jean’s. Je suis lascive, installée dans mon canapé, avec un pull sans soutien-gorge et dans un tanga noir qui doit commencer laisser paraître certaines de mes envies. Ma cheville blessée repose sur la table basse et l’autre est au sol. La tenue et la posture ...