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Rééducation périnéale
Datte: 20/09/2018, Catégories: ff, médical, fépilée, odeurs, Oral init, humour, ecriv_f,
... aller se caresser aux toilettes. Maîtresse dans l’art de la caresse furtive, elle arrivait à se procurer un orgasme en glissant ses doigts sous sa blouse en quelques instants… Mais à ce moment-là, je ne savais encore rien de tout cela. Elle n’était que la gentille sage femme chargée d’aider mon périnée à reprendre du tonus. « Le premier exercice est terminé ; ce n’est pas mal pour une première séance ; maintenant, je vais envoyer des petites ondes électriques ; nous allons régler ensemble l’intensité ; je commence par 1, et je monte progressivement, dites-moi quand vous sentez la décharge électrique ; 1 et demi ; 2 ; 2 et demi ; 3 toujours rien ? » Je fais non de la tête et m’inquiète intérieurement ; est-ce normal que je ne ressente rien ? Aurais-je la libido définitivement anéantie ? Zone sinistrée, anesthésiée ? Me voilà tétraplégique de la chatoune ? Ouille ! ! ! « je sens ! Je sens » « Bon, on est à 4 et demi ; on continue à monter ; Dites-moi à quel seuil ça devient douloureux » Douloureux ? Mais je ne veux pas avoir mal ! J’ai assez donné avec l’accouchement. Je suis ici justement pour avoir un sexe « bon pour le service » et des rapports sans douleur. Je vais descendre de cette table et me sauver vite fait loin de cette sadique ! ! ! ! « Euh, ça devient très fort, là ! » « OK ; on laisse à 5 et demi pendant 5 minutes avec des impulsions toutes les 15 secondes » Elle règle la machine et se retourne vers moi ; elle voit mon air apeuré. « Mais détendez-vous ; ce n’est ...
... pas de la torture » (Ouais ouais cause toujours) « ça va vous aider à re-sensibiliser la zone » (ah ça pour être sensible ça l’est ; je fais un bond toutes les 15 secondes ; on ne m’avait pas dit que la Sécu remboursait les séances SM) « allez, décrispez-vous » Elle s’est assise sur le bord de la table et m’a caressé la cuisse gentiment. Le contact de sa main m’a fait un drôle d’effet. Une onde de chaleur m’a irradié le ventre tandis qu’elle continuait l’attouchement. Nos regards se sont croisés. Elle a vu mon trouble. J’ai aperçu ses yeux brillants. Sa caresse s’est faite plus lascive. J’ai fermé les yeux en signe d’acquiescement. Alors son autre main s’est jointe à la première et le duo a commencé à pianoter sur mon corps : ventre, cuisses ; genoux. Ses doigts étaient légers et d’une grande douceur. J’ai senti que je commençais à inonder la sonde. Mais cet intermède n’a duré que le temps d’un soupir. Comme un rêve. Elle a toussoté, a retiré ses mains et a dit : « c’est assez pour aujourd’hui ; je vais ôter la sonde » Elle a écarté doucement mes cuisses et est venue retirer l’appareil. Ce faisant, elle a frôlé mon clitoris de sa bague. Elle m’a dit de me rhabiller. J’étais dans un état second ; très excitée et restant sur ma faim. Elle avait réveillé ma libido en quelques caresses somme toute bien innocentes et je ne voulais pas en rester là ; j’avais besoin physiquement d’aller plus loin. Elle a pris son agenda tandis que je me battais avec mes dim up et m’ a proposé un ...