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Amour et partage
Datte: 20/09/2018, Catégories: fh, Masturbation Oral 69, pénétratio, confession, nostalgie, extraconj,
... pris une de ses mains et la dirigeai sur ce membre qui brûlait de désir. Je sentis ses doigts parcourir mon sexe gonflé et se refermer dessus dans un sentiment d’appartenance que j’appréciai alors, tellement elle sut me communiquer sa satisfaction de la chose et le désir profond d’en prendre possession. La rencontre de nos deux corps nus fut pour moi un pur et vrai moment de douceur. L’alchimie parfaite se réalisa lors du contact de nos peaux chaudes. Le désir de se posséder l’un l’autre était devenu insoutenable. Nos deux sexes vibraient à l’unisson et s’appelaient, l’un ouvert, l’autre dressé. Allongés sur le sol nous nous embrassions ardemment tout en nous découvrant. Nos mains s’activaient dans des caresses devenues naturelles, sa main découvrait mon sexe et la mienne caressait son clitoris avant de parcourir ses grandes lèvres qui laissaient échapper cet élixir de désir que je voulu savourer. Ma bouche quitta la sienne et après s’être attardée sur ses seins, descendit le long de son ventre pour atteindre le Mont Vénusien précédant l’accès à la dégustation tant attendue. Le visage entre ses cuisses, je savourais délicieusement le mets des dieux. Je titillais son clitoris en tournant autour régulièrement avec la langue qui redescendit tout doucement vers les lèvres avant de remonter à nouveau soulever le capuchon protecteur des lieux. Je mis un doigt puis deux à l’intérieur de son vagin à la recherche du point G que je massai ardemment tout en caressant son corps, ses ...
... pieds, son cou, son ventre et ses seins. Le moment dura jusqu’à n’y tenant plus, mon sexe voulut lui aussi sa part du festin. Je remontai alors ses jambes pour mieux pénétrer sa vulve et accroupi entre ses cuisses, mon engin la pénétra si profondément que je sentis le fond de sa chatte humide. Ses seins se dressaient de désir, ses tétons pointaient leur soif encore inassouvie. Une de ses mains parcourut son ventre pour atteindre mes testicules encore gonflés qu’elle empoigna pour mieux se les approprier puis, les abandonnant elle vint compléter son désir en caressant son clitoris. Je compris que son bonheur n’était pas total et j’abandonnai alors son vagin pour promener mon gland et toute la longueur de mon sexe sur le capuchon afin de mettre au jour le divin bouton. Ma bite parcourut ainsi à plusieurs reprises la fente humide avant de la pénétrer doucement. Ce moment de bonheur, j’aurais voulu l’éterniser tant ses lèvres enserraient mon sexe le masturbant divinement. Dans ce mouvement de va-et-vient que je provoquais en poussant sur mes jambes, je pouvais admirer nos deux sexes qui s’aimaient dans ce partage de plénitude inassouvi… inassouvi… inassouvi… jusqu’à l’instant où le dos cambré, les mains écartées, les pupilles dilatées elle m’invita à partager son ciel bleu et n’y tenant plus le fier destrier, enserré par la chatte goulue, ne put retenir sa semence et explosa de félicité. Nos corps détendus purent s’allonger l’un contre l’autre afin d’apprécier ce moment de rêve ...