1. Qu'est-ce qu'elle est belle !


    Datte: 21/09/2018, Catégories: fhh, couplus, cocus, hotel, Masturbation Oral pénétratio, init, couple+h,

    ... parfaitement profiter du spectacle. oo00oo Lentement, avec de petits bisous piqués, il revient vers la bouche de mon épouse. Il va l’embrasser, là ? C’est quand même très intime un baiser. Ses lèvres s’arrêtent à quelques millimètres de celles d’Aurélie. Mais il déjoue mon attente. Il n’a fait qu’effleurer les lèvres pourtant offertes, puis il se déplace et se met à genoux entre les jambes de mon épouse. Gentiment, il la pousse de sa main afin qu’elle s’allonge complètement. Il se positionne alors juste entre les deux longues jambes d’Aurélie, faisant glisser ses mains sur la soie des bas, jusqu’aux escarpins. Il enlève le soulier droit, puis saisissant le pied ainsi découvert, il entreprend de le masser lentement, mais fermement. Puis il fait de même avec l’autre pied. Aurélie soupire d’aise. Je sais que dix centimètres de talons, c’est un peu beaucoup pour elle et que ses pieds sensibles doivent apprécier à sa juste valeur ce massage. Puis ses mains remontent, caressantes, effleurantes… Chevilles, puis mollets, les mains glissent sur les bas de soie noire, en avant, en arrière, en avant à nouveau… Il prend tout son temps, et je perçois à la posture totalement alanguie d’Aurélie qu’elle est ravie de cette sensualité caressante, de celle qui fait doucement monter la tension. La connaissant, je suis sûr que derrière la barrière de son tanga, ses nymphes sont devenues ultra-sensibles et que l’humidité doit déjà se répandre. Les mains de Paul ont maintenant atteint la lisière ...
    ... des bas. C’est très graphique, dans la semi-pénombre de cette chambre, ces mains bronzées qui glissent du noir des bas à la blancheur nacrée des cuisses. Je me dis que j’aurai dû prendre mon appareil photo pour immortaliser cela. oo00oo Ses deux mains atteignent maintenant le tanga, ses doigts se glissent sous l’élastique et s’immobilisent. Il la regarde intensément. Aurélie, comprenant la demande muette, soulève légèrement son bassin, juste le temps nécessaire pour qu’il fasse descendre la culotte jusqu’à ses pieds. Je tends la main pour qu’il me la donne, l’approche de mon visage : le tissu est lourd, déjà humide. Je savais qu’elle appréciait, j’en ai la confirmation ! Je suis mal à l’aise, dans mon fauteuil ; mon sexe gonflé d’excitation cherche une place pour se déployer, qu’il ne trouve pas. Et je n’ose pas me déboutonner devant lui, lui montrer à quel point je suis excité par la situation. Je me décide quand même à défaire ma ceinture, descendre la fermeture Éclair, afin de me laisser un peu de liberté. Je garde cependant mon boxer ne souhaitant pas encore me mettre nu. Après tout, lui, est toujours habillé en costume. Soudain provocante, Aurélie écarte les jambes, offrant à son amant une vue imprenable sur son intimité. Je la connais bien, cette intimité. Je peux la décrire les yeux fermés. Depuis toujours, bien avant que ce soit la mode apportée par les films pornos sur internet, Aurélie laisse le soin à son esthéticienne d’épiler entièrement son sexe, ne gardant qu’un ...
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