Histoire alternative (4)
Datte: 21/09/2018,
Catégories:
Transexuels
... de finir de se rhabiller. Non ? Ils ne vont tout de même pas nous laisser comme çà ? Eh bien si ! — Merci les filles ! C’était super. A un de ces quatre… Julie s’allonge à coté de moi. Eh ben çà alors, comme manque de savoir vivre, c’est pas mal ! — Ça va Danielle ? — Oui, mais je suis frustré. C’était rapide, non ? — Des lapins. Ils étaient juste là pour se vider les couilles. — Supers baiseurs quand même ? — Techniquement oui, de belles bittes, mais fondamentalement de vrais cons ! On se regarde, on éclate de rire. De vrais cons, c’est le mot. Sauf que je n’ai absolument pas envie d’en rester là. Et Julie visiblement est en manque elle aussi. — On pense à nous maintenant ? — Pas par derrière s’il te plaît, dis-je. J’ai le cul en feu ! En souriant, elle se laisse glisser sur le coté, prend ma queue en bouche et entame une fellation toute en douceur. Punaise c’est trop bon ! Je veux lui rendre la pareille. J’en fais autant… Pendant quelques minutes, nous nous livrons à une sorte de soixante-neuf tout en douceur, comme pour effacer la violence des instants précédents. Je suis le premier à capituler. J’ai juste le temps de dire « Julie, je vais... ». Elle enfonce ma queue aussi loin qu’elle peut au fond de sa gorge. Je jouis. Je me vide. Je lâche plusieurs jets qu’elle avale au fur et à mesure. Oh misère… J’en ai interrompu ma ...
... fellation. Elle me sourit. Elle est heureuse de m’avoir donné ce plaisir. Je ne peux pas être en reste, je dois lui rendre ce moment… Je la bascule sur le dos, plonge entre ses jambes, reprend ma fellation. Elle est femme, alors je décide de lui faire comme si elle était une femme. Je ne lui fait aucune violence. Je la suce, je la lèche comme s’il s’agissait d’un clitoris, je veux la faire frémir à coup de caresses et c’est ce qui arrive. Je la sens se raidir progressivement, je sens sa queue palpiter. Elle gémit un peu plus fort et un peu plus longtemps, et sa queue laisse échapper un flot de sperme en écoulement continu pendant plusieurs secondes. J’avale tout, jusqu’à la dernière goutte, puis je remonte m’allonger sur elle. Je l’embrasse. Oh ! Ce goût de sperme mêlé de salive. Qu’est-ce que je t’aime Julie, t’es vraiment trop géniale ! On se rhabille. Enfin, pas moi… Si Julie s’en sort assez bien, moi je ne suis plus sortable. Ma jupe et mon chemisier sont tachés de sperme, et l’autre con a déchiré ma culotte ! La mort dans l’âme, je me résous à remettre mes fringues de mec que Julie a ramené. Le sac accueille mes affaires de femme. Je suis furieux ! — T’inquiètes pas, me dit Julie. Un coup de lave-linge et ce sera au poil. On se revoit demain ? — Après le boulot ? Avec plaisir. Mais… ne me parle plus de ces deux crétins ! A suivre...