1. Les douze coups de minuit (1)


    Datte: 21/09/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... qui parle) : — Mes amis, nous sommes là pour réaliser le rêve de Bécassine : devenir la belle, la magnifique, la fabuleuse Barbarella ! La naïve jeune fille bat des mains, excitée comme une puce. Le loup poursuit : — Maintenant, il nous faut préparer la potion magique. Mais pour préserver le secret de Panoramix, va t’enfermer dans ta chambre, Bécassine ; nous t’appellerons lorsqu’elle sera prête. Après son départ, le druide sort une grande coupe de sa besace et la dispose sur la table. Tous les personnages, à l’exception de Pervers Pépère et des Shadoks, viennent se placer autour du récipient, se dénudent et commencent à se masturber. Robert Bidochon, concentré, enfonce son béret jusqu’aux oreilles, cale sa baguette de pain sous un bras et commence à astiquer son saucisson à l’ail qu’il confond avec sa bite. Si le Marsupilami a une queue démesurée, l’autre est tellement petite qu’il ne peut la prendre qu’entre deux doigts tandis que Gaston Lagaffe, indolent, se branle d’un air distrait en protestant mollement « M’enfin… » Lioubov en rappelle un à l’ordre : — Hé, le Schtroumpf, fais comme les autres : branle-toi. — J’aime pas me branler… — Je m’en fous : c’est un ordre ! Tout en grognant, il s’exécute. C’est Lucky Luke qui, tirant plus vite que son ombre, envoie la première salve de sperme. Homer Simpson le suit de près, accompagnant son éjaculation d’un « P’tou ! » sonore ; quant au Marsupilami, il décharge en criant « Houba, houba, hop ! » Avec classe, Dupond participe au ...
    ... remplissage de la coupe en affirmant : — Je jouis ! Son acolyte fait de même et renchérit : — Je dirais même plus : je jouis ! — Moi, j’aime pas jouir, proteste le Schtroumpf grognon. Le grand loup gris, remarquant que Picsou simule une masturbation, l’apostrophe : — Alors, le radin ? — Je ne donne jamais rien, moi, répond le canard à haut-de-forme. — Comme les autres, sinon ce sera la trempette !* — Non, pas la trempette, pas la trempette… Et il y va de son obole liquide. Panoramix examine la coupe ; elle n’est qu’à moitié remplie. — C’est un peu juste : il en faut une deuxième tournée. Un peu de courage ! Les zigounettes sont en berne, mais le druide n’est pas démuni de ressources : — Allez, les Shadoks, venez nous pomper. Les volatiles se précipitent à la rescousse. — Aïe ! Pas avec vos becs, bande de tarés : avec la pompe. Dans un piaillement de « ga, bu, zo, meu », les Shadoks déploient des tuyaux, y insèrent les verges défaillantes et se mettent à actionner les leviers de leur pompe biscornue pour extraire les dernières gouttes de sperme. Petit à petit, la coupe se remplit. Panoramix s’en approche pour y ajouter sa touche personnelle, mais sa faucille en or lui échappe des mains et il s’en faut de peu pour que le druide se reconvertisse en rabbin. Le récipient est enfin plein ; les participants se rhabillent et Lioubov appelle Bécassine. Lorsqu’elle apparaît, Panoramix lui tend la coupe avec déférence. Elle s’en saisit et la porte à sa bouche. Le grand loup l’arrête : — ...