1. Crack des bourses


    Datte: 22/09/2018, Catégories: fh, fépilée, cérébral, noculotte, humour,

    J’étais trader et les bonus tombaient régulièrement dans ma poche. Personne ne me reprochait alors quoi que ce soit. J’avais un appartement assez chic dans le huitième arrondissement et je faisais des voyages quand j’en avais envie. Je vivais avec Véolia qui était secrétaire dans un établissement bancaire. Pendant des années, je bandais sans problème et mon érection suivait exactement la courbe du CAC 40. Je me souviens même que lorsque j’ai acheté et revendu les actions Danone dans la même journée, mon sperme était crémeux comme rarement je l’avais vu. Ma copine me disait que j’étais un «golden boy». Elle ne connaissait pas l’anglais et me croquait comme une pomme. J’avais attribué des actions à chacun des vêtements de Véolia. Ainsi son corsage était Air Liquide et son soutif Sein Gobain. Pour sa jupe, nous avions choisi Lagardère et pour sa culotte Carrefour. Ses chaussures étaient identifiées Michelin et ses collants Paribas. Enfin pour son maquillage, c’était bien sûr L’Oréal. Pendant des années, ses vêtements avaient rallongé au point qu’elle ne portait plus les dernières années que des jupes longues, des manches amples, des chaussures montantes. Et puis, il y a un an, le crack ! Au début, ce ne fut qu’un coup de semonce. Elle-même croyait qu’elle résisterait bien mieux à la crise. Mais quand Carrefour, contre toute attente, perdit 12 pour cent en une matinée, sa culotte devint un string ficelle. Sa jupe, qui lui arrivait habituellement aux genoux, se raccourcit ...
    ... terriblement. Elle laissait voir des cuisses bronzées par un été encore si proche. Plus de collants et plus de soutien-gorge. Le lendemain, c’est L’Oréal qui se réveillait avec de lourdes pertes et Veolia dut se résoudre à la fuite de ses capiteux. Désormais, la peau était nue. Bien sûr, de mon côté, je perdais beaucoup d’argent, mais c’était une consolation magnifique le soir de voir ma compagne à moitié nue, à moitié habillée selon que le verre Saint-Gobain était à moitié vide ou à moitié plein. Je rentrais et chaque jour, il manquait quelques centimètres de tissus. Un jour, ce qu’il restait de son string tomba dans la corbeille à la dernière cotation. Je ne bandais plus que lors de prises de bénéfices fort modestes, mais j’avais toujours sous la main le sexe de plus en plus lisse de Véolia. Elle caressait aussi mon pénis en espérant quelques soubresauts qui se faisaient de plus en plus rares. Certes, dans sa bouche, ma verge retrouvait une petite vigueur. Mais rien qui pouvait faire croire à une véritable érection. On pouvait vraiment parler de croissance molle. Elle pouvait me garder des heures dans sa bouche et au final il n’y avait toujours que de la salive. De même, mes doigts ne trouvaient qu’une vague humidité au fond de ses orifices. Qui aurait pu penser cela de Véolia que tous, amants et copains sexuels, considéraient comme une femme fontaine ? Beaucoup de tendresse pourtant entre nous, mais aucun redressement. Si ce n’est un redressement fiscal qui me tomba dessus en ...
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