1. Aventures à Pattaya -2


    Datte: 01/08/2017, Catégories: fh, asie, plage, amour, Oral fdanus, fsodo,

    ... qu’on a commencé ce matin ? Il n’en fallait pas plus pour que je bande comme un taureau ! Mon pauvre Jeff était déçu par sa performance matinale… Mais le connaissant, j’ai pensé qu’il n’allait pas répéter son erreur. En toute confiance, je lui ai présenté ma croupe à quatre pattes. J’ai senti immédiatement sa langue chaude se plaquer sur mon anus. Elle était vigoureuse et tonique, un petit muscle extraordinairement efficace. À son contact, mon sphincter se ramollissait comme un chewing-gum malaxé et imprégné de salive. Deux doigts se sont insinués dans mon vagin et ont commencé à s’activer. J’étais au paradis. Son membre dur et volumineux a alors investi ma grotte humide tandis que son pouce pénétrait millimètre après millimètre mon fondement. Un double mouvement de piston a déclenché des ondes de plaisir en rafales. Son pouce était maintenant complètement enfoncé et titillait de l’intérieur mon sphincter interne provoquant ainsi naturellement l’ouverture de cet anneau. La relative fraîcheur duK-Y sur la muqueuse de mon canal anal m’a fait délicieusement frissonner. Ce qu’avant je redoutais le plus, je l’attendais maintenant avec impatience. Son sexe est venu enfin avec une lenteur calculée investir tout doucement ...
    ... mon rectum. Jeff avait bien retenu sa leçon et il était devenu tout simplement excellent. Un sentiment de plénitude m’a envahie tandis que la queue de mon mari s’activait de plus en plus dans mes intestins. De merveilleux picotements se propageaient jusqu’à la racine de mes cheveux. Une explosion de couleurs est venue percuter ma rétine. J’ai joui brutalement, bestialement, sans retenue tandis qu’un flot de cyprine s’échappait de ma chatte tourneboulée. Waou ! Que c’était bon de voir sa femme dans cet état. J’avais le sentiment enivrant d’avoir conjuré le mauvais sort. Je me suis dit que même après cinquante ans, j’étais encore dans la course. Quelle était belle la vie ! J’ai déchargé dans le cul de Mo une salve de foutre, puis une autre et encore une autre jusqu’à ce que je m’écroule sur le côté, complètement vidé. Je suis sorti de ma torpeur extatique lorsque j’ai senti une douce main me caresser tendrement les cheveux alors qu’une petite voix chuchotait : — Alors rassuré ?— Oui, je suis au nirvana…— Je pense que tu n’es pas près de le quitter car je ne t’ai pas dit que ma copine Bee te trouvait à son goût et n’était pas du tout contre un trio avec nous ! Quelle journée ! Mais, quelle journée je venais de vivre ! 
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