ENTRE LES MAINS DUN COUPLE PERVERS chapitre 1
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
Masturbation
Mature,
Première fois
ENTRE LES MAINS D'UN COUPLE PERVERSNous sommes en 1960. Je n'ai guère plus de douze ans. Je termine mon année de sixième au lycée de la petite ville de Province dans laquelle j' habite.Depuis quelques temps mon corps change. Un léger duvet fait une légère ombre sur mon bas ventre. Mes couilles me semblent avoir gonflées légèrement. Des pensées licencieuses traversent mon esprit, mais je ne sais qu'en faire. En gros, la puberté commence à me travailler.Pour me rendre au lycée, nouvellement construit, je dois traverser une zone occupée de jardins, essentiellement à l'abandons car ils ont été préemptés par la commune. Seuls quelques pavillons épars restent provisoirement occupés.Tous les jours, je passe devant une jolie maisonnette habitée, semble-t-il par une dame qui me semble très âgée vu de mes 12 ans. Elle doit être très proche de la soixantaine. Une vraie grand-mère ! Des formes généreuses : Un beau fessier généreux, une belle grosse paire de seins mais quasiment pas de ventre. Elle n'est pas grosse mais toute en rondeurs. Je ne vois jamais personne en sa compagnie, donc elle doit vivre seule ! (conclusion bien hâtive, comme la suite le prouvera).Chaque jour, je la salue d'un petit signe de tête. Puis nous nous adressons vaguement la parole. Je prends peu à peu le temps de discuter avec elle, de tout et de rien. J'ai le temps, car mes parents, commerçants, rentre très tard du travail, souvent peu avant vingt heures et me font confiance (s'ils savaient !).Nos conversations ...
... deviennent de plus en plus longues. En vérité, elle ne me parle jamais d'elle. Personnellement, je ne suis pas avare de confidences. Nous sommes courant mai. Il fait beau et chaud ! Pour la première fois, elle m'invite à entrer dans sa cour et m'offre à boire.Habitude prise ! Tous les jours, je m'arrête boire et grignoter un gâteau. Elle ne manque pas d'humour et je finis par oublier son âge. Elle devient l'amie qui m'offre qui ma désaltère et avec laquelle je discute plaisamment.Je n'oublierai jamais ce jour où, comme tous les jours d'école, je m'arrête boire chez elle. Je tiens mon verre à la main ! Un geste malencontreux de sa part (du moins, longtemps, j'y ai cru), et voilà mon verre renversé sur mes genoux.- « Excuse-moi, Christian, je suis désolée ! »Le haut de mon pantalon est inondé.- « Viens dans la salle de bain que je t'essuie ».Je n'ai pas le choix. En confiance, je la suis. Munie d'un gant et d'une serviette, elle essuie mon pantalon au niveau de mon entrejambe. Elle prend son temps.Que m'arrive-t-il ? Son essuyage prend la tournure d'une caresse. Je suis affreusement gêné, d'autant plus que, mon zizi, jusque là au repos, raidi doucement sous sa main. Loin de s'offusquer du phénomène, elle prend un malin plaisir à accentuer ses attouchements.En peu de temps, je deviens raide comme jamais. Elle me saisi le zizi à travers le pantalon et entame une branlette vigoureuse. Le résultat ne se fait pas attendre. En quelques secondes, bien qu'affreusement gêné, j'explose ...