1. A la découverte d'un monde inconnu. (8)


    Datte: 22/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Chapitre précédent Après une nuit quelque peu agitée, les deux femmes ont offert à Manu un petit déjeuner hors du commun. Manu, un peu attristé par l’inexistence de sa mère, essaie de trouver refuge auprès d’Alice qui leur propose de dormir avec elle. Chapitre 8 : Câlin à trois La séance d’initiation est terminée ; avec Jean-Mi, ils attendent Alice. La voici qui gare la voiture. — Bonjour, Jean-Mi, comment vas-tu ? Et cette initiation, comment cela s’est-il passé ? questionne Alice en lui faisant la bise. — Bien, tes enfants ont bien aimé la séance ! Alice a entendu le « tes » mais ne dit rien. Il poursuit : — Je t’ai préparé les documents si tu veux les inscrire. Je t’appellerai, je t’expliquerai tout. Je vous laisse, j’ai un rendez-vous. Alice prend les documents et propose d’aller manger dans un snack. Une fois installés, la conversation s’articule autour des différentes disciplines ; ils voudraient faire tous les deux du jiu-jitsu : c’est un très bon sport de défense, et l’entraîneur n’est autre que Jean-Mi. Julie prend la parole : — Maman, Jean-Mi nous a dit que si on bosse bien, on pourrait aller en compète ; d’après lui, on a des aptitudes. Au fait, tu as entendu ? Jean-Mi a dit « tes enfants » ! — Oui, j’ai entendu ; et alors ? Manu, la voix étranglée et les yeux humides, intervient : — Eh bien moi, si j’avais une maman comme toi, je serais le plus heureux du monde. Alice détecte l’émotion de Manu, lui prend la main ; son regard tendre. « Il n’est pas bien, ce ...
    ... gamin... » pense-t-elle. — Allez, Manu, ne t’inquiète pas, ça va s’arranger. Je suis sûre que cela va s’arranger ; un peu de patience... lui répond-elle sur un ton compatissant. La seule réponse qu’elle obtient, c’est un haussement d’épaules. Alice et sa fille échangent un regard impuissant. « Il t’arrive d’éviter de dire de conneries ? Il faut que je trouve une solution. Je ne sais pas quoi, mais il faut que je trouve. Il ne peut pas rester comme cela, ce petit ! » pense-t-elle. Le repas terminé, ils rentrent à la maison, occupent l’après-midi à ranger, préparer le matériel scolaire. Julie prépare le « cahier d’histoires » et interroge sa mère : — Dis, maman, t’as eu une super idée avec le « cahier d’histoires » : rien à voir avec les dissertes de philo ; comment fait-on ? — Je vois que dès qu’on parle de cul, il y a de la motivation ! — Maman, ce que tu m’as déjà fait, c’est tellement chouette que j’ai envie de vite découvrir d’autres choses, et je suis sûre qu’avec une prof comme toi ça va être super. — Merci du compliment. Eh bien, d’un côté on écrit l’histoire. Le principal acteur décrit ce qu’il subit ou qu’il doit faire, avec les ressentis physique et moral, les dialogues, etc. On y mettra des notes pour savoir si le « TP », réalisé a plu ou pas. Par exemple : 0 = nul, a déplu à tous, on ne refera pas ; de 1 à 4 = un peu ou pas beaucoup plu ; et 5 = a plu et à refaire. Moi, je corrigerai l’écriture. De l’autre côté du cahier on marquera les idées : ce qu’on a envie de subir ...
«1234»