Coordinateurement Vôtre
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
aventure,
... parquet et lance : — Vos probabilités à la con, vous savez où je me les fous ?— J’imagine, j’imagine ; bel endroit à explorer, d’ailleurs…— Oh, vous ne pouvez pas être sérieux un instant ? C’est trop vous demander ? D’un large mouvement de la main, un demi-sourire sur les lèvres, il désigne par la fenêtre la capitale qui s’étend à perte de vue : — Pour réussir ce qui fut réussi, vous ne croyez pas qu’il fallait quand même un minimum de sérieux ? Furieuse, les cheveux défaits, agitée, elle rétorque : — Tu parles ! La situation était telle que ces moutons de Panurge auraient suivi n’importe qui, du moment que celui-ci leur promettait juste un peu de chaleur ! Et moi, j’ai fait pareil, comme une conne ! Pour toute réponse, il s’approche d’elle ; elle rugit : — Oui, comme une conne, je vous ai fait confiance, même si j’avais peur ! Et tout ça pour un type qui menait une expérience ! Il s’approche toujours d’elle ; instinctivement, elle recule un peu, mettant ses bras en position de défense, sans toutefois cesser de crier : — Un sale type qui menait une expérience foireuse ! Oui, je suis une conne d’avoir cru en ce sale type ! Pour toute réponse, il ouvre les bras. Elle reste interloquée quelques secondes, et à sa propre stupéfaction, elle se jette sur lui et se met à pleurer. Il referme ses bras autour d’elle et la console, tout naturellement. Brisée, elle se laisse aller. —ooOoo— Depuis longtemps, deux corps qui se cherchent, qui se trouvent, qui se combattent, qui fusionnent, ...
... dans un grand lit complètement défait, les draps froissés, les oreillers au sol ; et dehors, le soleil qui se couche, projetant ses derniers rayons dans la chambre. Elle l’attire à lui, le veut, veut sentir son souffle, ses formes, son poids. Elle s’agrippe à lui, nouant ses membres autour des siens, s’enroulant telle une liane. — Aime-moi ! Lui emprisonnant les mains, obligeant à placer les bras au-dessus la tête, il se dégage lentement mais fermement, tout en déposant des baisers humides sur le corps frémissant de sa maîtresse qui se laisse faire. Agenouillé, ses genoux encadrant le bassin de son amante, l’homme la surplombe ; il la regarde intensément. Puis lentement, il se penche vers elle, pose sa bouche sur ses lèvres tandis qu’une main s’empare d’un de ses seins. Elle gémit, sa bouche bâillonnée par une autre qui devient de plus en plus avide. Des doigts jouent avec la masse tendre de son sein, titillent un téton érigé, suivent le cercle de l’aréole… — Oui, aime-moi ! Puis la bouche de l’homme glisse sur le menton de la femme, déposant mille baisers enfiévrés, descend doucement le long du cou pour en goûter toutes les saveurs. Il s’attarde sur les épaules, dans le creux du cou, puis glisse vers les seins aux tétons dressés. Laissant sa main avide sur le même sein depuis tout à l’heure, les lèvres inassouvies épousent insidieusement les courbes douces, gravissant lentement le mont sucré vers sa pointe dure. Elle soupire d’aise, ses mains agrippées aux bras de l’homme. ...