Les vacances de Romain (2) - Histoires de Sexe

Les vacances de Romain (2)

... se lover sous mon bras. Elle semble très sensuelle... trop sensuelle... Je ne réfléchis pas trop et je lui réponds : — Oui heureusement que tu étais là pour me faire penser à autre chose, mais la frustration est plutôt forte. — Je me doute bien, mais tu sais … Je connais bien cela, à mon âge et ça passera. — Oui je pense, mais j’ai du mal à penser à autre chose, tu sais cela doit être comme une drogue. J’ai vraiment l’impression de ne plus pouvoir penser à autre chose. Ce désir luxueux et libidineux qui m’envahit, cette envie primaire de posséder et de prendre. Sans me rendre compte je m’emballe et parle à ma mère de mes désirs fiévreux. Et toujours sans remarquer réellement la tournure que prennent les choses elle se retourne, comme subjugué par mes paroles, elle se rapproche de mon oreille et quand j’ai enfin terminé ma prose de la luxure, elle me souffle comme en déposant un baiser : — Je sais exactement ce que tu récents. Tu voulais te servir de son corps comme d’un objet, tu voulais la prendre comme la dernière des putes et déchaîner la passion qui t’anime à travers vos corps, mais tu ne l’as pas eu. Mais comme je te l’ai dit, tu m’as moi et je peux t’assurer que tu n’as rien à y perdre au change. Quand elle termine son monologue qui se révèle dévastateur ...

... pour mon âme, elle passe délicatement de mon oreille à ma bouche et sans même ralentir elle pose ses lèvres sur les miennes et introduit sa langue sans ménagement au fond de ma bouche. La chaleur du soir n’en est que plus prenante et mon esprit s’effondre complètement. Mes pensées tournoient aussi vite qu’un ouragan et je n’arrive même pas à comprendre ce qui ce passe. Ses mots… Ses quelques mots on suffit à résumer l’état de ma situation, de mes envies. Comme si elle les comprenait, comme si elle les ressentait. Toutes mes barrières lâchent prise, ce baisé qui dur depuis des secondes ou des heures devient de plus en plus torride. Mes mains qui restaient tétanisées jusqu’à maintenant s’abattent sur son fessier et le presse avec détermination. Elle continue de dévorer ma langue alors que je fais remonter sa robe pour pouvoir poser ma peau contre la sienne. Mes doigts s’agrippent à ses fesses pleines d’envie et elle grogne d’excitation suite à ce traitement. Elle relâche tendrement mes lèvres, pose son regard dans le mien et me dit : — Maintenant on va rentrer et je vais te donner tout ce que tu veux, absolument tout… Elle s’éloigne, telle une féline, de mon corps. Elle contourne la voiture et rentre à l’intérieur. Les vacances risquent d’être pleines de surprises...